Le virus COVID19 et l’obésité : une combinaison dangereuse

Depuis le début de l’année 2020, et probablement même avant, le virus COVID-19, que l’on peut considérer comme dangereux, sévit dans le monde entier. L’évolution de la pandémie, regroupée sous le terme générique de crise Corona, a des conséquences importantes sur l’ensemble de la vie dans le monde – y compris en Suisse. Même si le nombre d’infections et de décès causés par COVID-19 est actuellement en baisse, le virus n’a pas disparu. Il est toujours là. Et dans de nombreux pays, on craint de plus en plus qu’il faille s’attendre à une deuxième vague importante d’infections au plus tard en automne.

Évaluer correctement les groupes à risque

En principe, on peut partir du principe que presque tout le monde peut être atteint par le virus Corona. Le virus peut toucher n’importe qui, quels que soient l’âge, la classe sociale ou le niveau de revenu. Les mesures de protection telles que le « social distancing », c’est-à-dire le fait de se tenir à distance, le port de masques bucco-nasaux et le respect d’une bonne hygiène des mains peuvent certes réduire considérablement le risque d’infection, mais ne peuvent pas l’exclure.

La collecte et l’analyse statistiques des données relatives au déroulement de la pandémie de coronavirus et à sa propagation ont permis de définir certains groupes à risque, dont le risque d’infection est nettement et de manière mesurable supérieur à la moyenne. Les groupes à risque actuellement connus sont

  • en principe, toutes les personnes âgées de 65 ans et plus
  • Personnes souffrant d’hypertension
  • Adultes souffrant de maladies respiratoires chroniques
  • Diabétiques des deux niveaux
  • les hommes et les femmes souffrant de maladies et de thérapies associées à un affaiblissement du système immunitaire
  • toutes les personnes atteintes de maladies cardio-vasculaires et
  • les patients atteints de cancer.

Nombre de ces diagnostics s’appliquent également aux personnes en surpoids important, dont l’IMC est supérieur à 40 et qui sont donc considérées comme très obèses.

L’obésité et la maladie de Corona forment une combinaison dangereuse

La combinaison de l’obésité et de l’infection par le virus COVID-19 est à la fois intéressante et inquiétante. Après tout, l’obésité chronique est souvent associée à des facteurs de risque tels que l’hypertension, la lourdeur, le diabète, un système immunitaire affaibli, des troubles cardiovasculaires et un mode de vie qui s’accompagne de peu d’exercice en plein air.

Dans cette constellation, les personnes en fort surpoids se retrouvent particulièrement souvent dans les groupes à risque d’infection par le virus Corona. Cela signifie que les adultes nettement obèses sont exposés à un risque d’infection substantiellement plus élevé.

Ce que nous recommandons aux patients souffrant d’obésité

En raison du lien dangereux entre l’obésité et le risque d’infection par le virus Corona, nous recommandons aux personnes souffrant d’une surcharge pondérale importante de se faire conseiller et suivre par un médecin spécialiste, par exemple par les médecins spécialisés dans la chirurgie de l’obésité des cabinets de Swiss1Chirurgie et du Centre de chirurgie bariatrique (CBC). Ici, on est conscient de toute la problématique de l’obésité, notamment en rapport avec le virus COVID19, et on peut donner les conseils décisifs.

En outre, il est conseillé aux patients concernés de se faire soigner dans les centres pour obèses de Swiss1Chirurgie avant l’arrivée probable de la deuxième vague d’infection. Outre un diagnostic approfondi et des conseils sur les options de traitement individuelles en cas d’obésité pathologique, les médecins spécialistes de Swiss1Chirurgie et du ZfbC proposent des conseils complets sur les possibilités de prévention des personnes concernées par une éventuelle maladie à COVID-19.

La modification de l’alimentation et du mode de vie est au centre des préoccupations

Compte tenu de la vulnérabilité particulière des personnes en surpoids dont l’IMC est supérieur à 40, il est vivement conseillé de modifier immédiatement l’ensemble de leur régime alimentaire et de leur mode de vie pour adopter une option plus saine. Ce qui peut être exprimé si simplement ici par des mots pose de grands défis à la plupart des personnes concernées.

C’est pourquoi un conseil et une prise en charge par un spécialiste constituent une option à laquelle il faut absolument recourir, et pas seulement en ce qui concerne le risque lié au virus COVID19. En effet, les personnes en surpoids présentent souvent une accumulation de facteurs de risque qui favorisent à la fois une contamination par le virus Corona et une évolution comparativement plus problématique de la maladie.

Indépendamment de la pandémie de Corona actuelle, nous conseillons vivement aux personnes en surpoids de se faire conseiller, traiter et suivre par un spécialiste, par exemple dans les cabinets de chirurgie de l’obésité de Swiss1Chirurgie. En effet, cela permet non seulement de lutter efficacement contre le risque d’une évolution grave de l’infection par le COVID-19, mais aussi de faire un premier pas prometteur vers un avenir globalement plus sain.

L’obésité de grade III comme facteur de risque d’une évolution plus grave du COVID-19

est officiellement sur la liste depuis aujourd’hui : Annexe 6 du règlement COVID 2, adaptation du 14 mai 2020, point 7

Communication du: Département fédéral de l’intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Domaine de direction Santé publique Section Prévention dans les soins de santé

Connaissances médicales et conseils d’experts sur Radio Bern1

Les gens s’intéressent davantage à leur santé et utilisent différentes sources pour s’informer sur un mode de vie sain, mais aussi sur les maladies et leurs symptômes ainsi que sur les possibilités de traitement. Les maladies populaires telles que l’obésité ou le reflux gastro-œsophagien (par exemple les remontées acides chroniques) attirent de plus en plus l’attention du public et ouvrent ainsi les portes des médias comme la radio ou la télévision.

Swiss1 Chirurgie, dirigée par le professeur Jörg Zehetner, s’est engagée depuis longtemps dans un travail professionnel de relations publiques et salue toutes les mesures et les moyens qui permettent de promouvoir la perception de ces maladies par la société. Jörg Zehetner voit justement dans la stigmatisation des femmes et des hommes concernés un problème qui empêche de nombreux patients de se soustraire aux examens médicaux correspondants. En fin de compte, un cercle vicieux s’installe, qui, associé à un long parcours de souffrance, n’aboutit que rarement, et le plus souvent pas du tout, à une amélioration de la vie des personnes concernées. Les maladies populaires, anciennes mais aussi nouvelles, ne sont pas seulement un problème pour les personnes concernées. L’économie et la société dans son ensemble sont également touchées lorsque l’augmentation du nombre de cas entraîne une augmentation de l’incapacité de travail, de l’incapacité professionnelle, de l’invalidité et, en fin de compte, des coûts de l’assurance maladie.

C’est donc avec beaucoup d’engagement que Jörg Zehetner a pris la parole à la radio dans le cadre de ses efforts pour être mieux entendu par le public. Le 17 août 2020, dans le cadre de la série de podcasts « Connaissances médicales », le thème de l’ablation de l’œsophage (résection de l’œsophage) était un point fort sur lequel le médecin spécialiste de la clinique Hirslanden Beau Site s’est positionné. Quand et pourquoi l’ablation de l’œsophage peut être indiquée, c’est ce que Jörg Zehetner a expliqué de manière très claire en deux minutes seulement.

Dès le lendemain, le 18 août 2020, Jörg Zehetner était de nouveau à l’antenne sur Radio Bern1. Cette fois-ci sur le thème de l’obésité, une maladie qui prend de plus en plus d’importance en Suisse et dans tous les autres pays industrialisés hautement développés du monde. Là encore, Jörg Zehetner s’est clairement positionné en faveur des personnes concernées et, fort de sa longue expérience de chirurgien viscéral, il a parlé des méthodes classiques de traitement de l’obésité pathologique.

Là encore, Jörg Zehetner impressionne par sa capacité à présenter les principales possibilités de traitement en seulement deux minutes.

Écoutez ici les deux podcasts de Radio Bern1 dans leur intégralité :

https://swiftcdn6.global.ssl.fastly.net/projects/5f3e31531d258/index.html?cb=abhioqr529cv93v8xj8x8

Il convient de noter que ces courts podcasts ne peuvent pas remplacer un diagnostic et un conseil complets et approfondis. Si vous pensez être vous-même confronté à l’une de ces deux problématiques, adressez-vous à l’un des cabinets de Swiss1Chirurgie. Une visite du site www.swiss1chirurgie.ch peut également s’avérer utile. Des contenus complets sur les domaines thématiques y sont proposés. En outre, on y trouve également toutes les possibilités de contact avec le professeur Jörg Zehetner et les cabinets de Swiss1Chirurgie.

Une menace pour l’humanité

L’obésité pathologique progresse rapidement dans le monde entier

Accès direct à l’autotest: https://ch.run/20sekunden

La vie s’accompagne toujours de défis particuliers et nous aimons considérer certains d’entre eux comme une menace pour notre propre existence. Les épidémies, les pandémies, les forces de la nature, les cancers, les accidents et autres maladies graves, sans oublier la violence, inspirent à chacun d’entre nous une bonne dose de peur et d’inquiétude.

Il existe pourtant une maladie moderne très répandue qui, à long terme, est bien plus dangereuse et mortelle que tout ce qui a déjà été énuméré ici. Il s’agit du surpoids pathologique, également appelé obésité à différents stades par les spécialistes. Les personnes concernées par l’obésité pathologique, avec les effets secondaires et les maladies qui en découlent, sont bien plus nombreuses que nous ne le pensons généralement. Tendance : en hausse rapide !

Excès de nourriture et manque d’exercice

L’obésité est particulièrement répandue dans les pays industrialisés développés, par exemple en Europe, mais aussi sur le continent américain. Mais de plus en plus de régions d’Asie sont touchées et même le continent africain n’échappe pas à l’obésité.

Une surabondance de nourriture disponible en permanence, des habitudes alimentaires mal apprises et transmises à ses propres enfants, un manque d’activité physique et une culture du fast-food souvent bien trop riche en graisses et en sucres sont certainement en partie responsables de l’obésité.

Savoir ce qui se passe

Mais en premier lieu, ce sont les personnes elles-mêmes qui tombent dans le piège de l’obésité par manque de connaissances, par manque de réflexion sur le contexte et par commodité. Et ce, souvent les yeux fermés mais sans une conscience aiguë des conséquences d’une mauvaise alimentation. Affections hépatiques, troubles articulaires, troubles circulatoires, troubles du métabolisme lipidique, essoufflement, attaque cérébrale et atteintes psychiques dues à la stigmatisation qui s’ensuit ne sont qu’un aperçu d’une large palette de maladies concomitantes et consécutives qui sont finalement imputables à une surcharge pondérale pathologique. La qualité de vie s’en trouve nettement affectée et il ne reste parfois plus qu’à recourir à une intervention chirurgicale pour maîtriser la situation. Et même cela ne constitue pas en soi une solution au véritable problème, mais seulement une aide de dernier recours pour les personnes particulièrement touchées par l’obésité pathologique.

L’obésité, une maladie répandue, menace l’existence des personnes concernées

Le regard médical sur la situation globale permet effectivement de conclure que l’humanité est menacée dans son existence à long terme par la maladie populaire qu’est l’obésité. Ce scénario peut sembler inimaginable pour l’instant, mais il devient plus menaçant si l’on considère l’évolution de l’obésité à l’échelle mondiale.

Il appartient à chacun de décider comment influencer son alimentation et sa constitution physique. Pour autant que l’on ait la ferme volonté de le faire et que l’on se rende compte que la bénédiction d’une alimentation toujours suffisante dans l’abondance actuelle n’est peut-être pas une véritable bénédiction.

Déterminer son propre score

Nous avons présenté sur https://ch.run/20sekunden un quiz permettant à chacun de déterminer son propre score de risque en matière de surpoids. Les résultats permettent de tirer de précieuses conclusions sur les actions nécessaires. Grâce à des décennies de recherche et de travail médical et chirurgical avec des personnes en surpoids, nous savons que seule une action précoce peut permettre de sortir de l’obésité pathologique. Et c’est souvent la prise de conscience précoce qu’un changement dans les habitudes de vie et d’alimentation peut être le meilleur pas vers une vie plus saine et, en fin de compte, plus heureuse.

Compte tenu de la menace réelle que représente l’obésité pathologique, nous recommandons d’utiliser le quiz simple pour déterminer le score personnel concernant les pathologies possibles en matière d’obésité. Pour beaucoup, cela peut être le premier pas important vers une gestion plus consciente de sa propre vie. Et même si la vie en soi semble toujours menacée par des maladies graves, des accidents, des pandémies mondiales ou des forces naturelles inévitables, nous ne devrions jamais sous-estimer les dangers auxquels nous nous exposons volontairement chaque jour en mangeant trop et mal, tout en manquant d’exercice.

Notre quiz sur https://ch.run/20sekunden vous permet de déterminer rapidement et facilement votre score de risque et vous donne en même temps des indications importantes sur ce que vous pouvez faire maintenant ou ce que vous devriez faire d’urgence. Parce qu’il n’y a rien de plus précieux que la vie.

Les soins postopératoires sous la loupe de la chirurgie de l’obésité

Entretien avec le Dr Steffen, ZfbC

Dans une interview détaillée, le Dr Steffen du Centre de chirurgie bariatrique ZfbC discute de l’importance du suivi pour les patients en surpoids. Outre l’opération bariatrique proprement dite, un suivi structuré revêt une importance considérable. Un succès durable n’est possible que si les personnes concernées sont impliquées activement et à vie dans le processus. Un article détaillé sur l’interview et l’interview du Dr Steffen lui-même sont disponibles ici.

Nouveau site d’information pour les patients : www.nachsorge.ch

Les soins postopératoires sous la loupe de la chirurgie de l’obésité

Si l’on parle d’interventions bariatriques telles que la réduction de l’estomac ou la formation d’un estomac tubulaire, il faut également parler d’un suivi professionnel et d’un traitement ultérieur pour les patients.

C’est exactement ce que fait le Dr Steffen du ZfbC, Centre de chirurgie bariatrique, dans l’interview vidéo présentée. Avec plus de 30 ans d’expérience et 3 600 opérations de l’estomac qu’il a lui-même réalisées dans le contexte de la chirurgie de l’obésité, le Dr Steffen fait partie des sommités de cette spécialité médicale en Suisse.

Évaluation des risques

Qu’il s’agisse d’un anneau gastrique, d’un bypass gastrique, d’une réduction de l’estomac ou d’autres techniques, il existe toujours un certain risque de récidive pour les patients traités. Justement la réduction du taux de récidive, ZfbC, lorsqu’il s’agit du suivi professionnel après une opération de l’obésité. Le Dr Steffen le dit clairement.

Le traitement de l’obésité est un processus qui dure toute la vie

Il devrait également être clair qu’après une première opération, il y aura d’autres interventions pour la plupart des personnes concernées, afin d’assurer le succès de la chirurgie de l’obésité. Cela signifie également que, dans la majorité des cas, l’opération seule ne suffira pas pour le reste de la vie. Il est donc important d’accompagner et d’encadrer les patients de manière continue et individuelle dans le cadre du suivi.

Les enfants dans la chirurgie de l’obésité

Selon le Dr Steffen, les enfants ne sont pas exclus de la problématique de l’obésité pathologique. Les enfants obèses deviennent généralement des adultes obèses, de sorte qu’une intervention précoce peut s’avérer judicieuse en présence d’une indication correspondante. Il est important de noter que le cadre réglementaire des interventions bariatriques doit également être respecté pour les mineurs.

Le suivi est le facteur de réussite décisif

Pour le Dr Steffen, le suivi continu est plus important que le moment de l’intervention chirurgicale. Par expérience, il sait que de nombreux patients ne prennent plus vraiment soin d’eux après une première opération de l’obésité. Mais il faut aussi responsabiliser les collègues spécialistes qui ne placent pas toujours le suivi spécifique au centre de la prise en charge ultérieure. Dans ce domaine, le CNPC peut tout à fait combler des lacunes de traitement. Il faut comprendre l’obésité pathologique comme une maladie incurable, de sorte qu’une bonne stratégie de suivi à vie doit également être présentée. Le Dr Steffen ne comprend pas le fait qu’il rencontre régulièrement des patients qui sont laissés seuls et insuffisamment considérés dans leur situation problématique après une opération de l’obésité.

En conséquence, le ZfbC souhaite également s’ouvrir aux patients qui n’ont pas été traités dans une clinique de Swiss1Chirurgie ou dans un cabinet associé. Il s’agit d’un lieu d’écoute et de soutien professionnel pour toute personne qui se plaint de problèmes divers après une intervention bariatrique. Ce qui n’est en aucun cas acceptable, c’est que les patients soient simplement laissés à eux-mêmes après une opération de l’obésité en se référant à leur programme de régime. Cela va à l’encontre de toute exigence éthique et médicale.

Dans ce contexte, il devrait être clair que celui qui n’a pas réussi à gérer son surpoids avant une opération ne pourra pas non plus le faire sans aide après l’opération.

Comprendre le suivi comme une norme

Pour Swiss1Chirurgie, un suivi structuré fait partie des standards de la chirurgie de l’obésité. Même si ce n’est malheureusement pas le cas partout, les experts de Swiss1Chirurgie, en collaboration avec le ZfbC, attachent une grande importance à un suivi professionnel et structuré dans l’intérêt des patients. C’est en effet le seul moyen d’assurer les premiers succès, de détecter les problèmes à temps et de développer le succès à long terme de la thérapie. Le reste n’a pas beaucoup de sens.

Il est également important de noter que le fonctionnement des différentes méthodes de traitement peut toujours entraîner des carences. De tels processus doivent bien entendu être surveillés et contrôlés afin de montrer aux patients comment compenser certaines carences, comme le manque de calcium ou de vitamines.

Le suivi des patients souffrant d’obésité est un travail d’équipe au ZfbC. Outre le Dr Steffen lui-même, d’autres collègues spécialistes se consacrent ici aux problèmes des patients dans le cadre de consultations de suivi spéciales. Environ 8000 patients sont actuellement pris en charge. Dans le cadre réglementaire, l’Office fédéral de la santé publique exige un suivi sur cinq ans. Les experts de Swiss1Chirurgie savent cependant que, dans les faits, un suivi à vie des patients est utile et nécessaire. Dans ce domaine, les dispositions législatives ne sont manifestement pas suffisantes.

Des complications peuvent survenir à tout moment

Les problèmes rencontrés par chaque patient sont très différents. Les soins postopératoires doivent donc être organisés de manière individuelle. Une partie des problèmes sont de véritables complications, comme des douleurs abdominales chroniques, des diarrhées persistantes, des carences, des vomissements ou d’autres problèmes fonctionnels. En principe, chaque personne concernée doit s’attendre à ce qu’un problème quelconque survienne pendant une période plus ou moins longue. Même si cela ne concerne finalement pas tout le monde, c’est une nette proportion de patients qui doit faire face à certaines problématiques après une opération de l’obésité.

Alcool et surpoids

Comme l’explique clairement le Dr Steffen, l’alcool a un effet particulier sur l’obésité et encore plus sur les patients traités en conséquence. Selon lui, outre les symptômes typiques de l’intoxication, l’alcool a une valeur calorique aussi élevée que la graisse pure. Il est donc peu judicieux, voire contre-productif, pour les patients en surpoids de consommer de l’alcool au-delà d’une faible quantité. Le mieux serait de renoncer complètement à l’alcool. C’est aussi à cela que vise un bon suivi.

Chaque intervention augmente le risque

En ce qui concerne les risques généraux liés à la chirurgie de l’obésité, le Dr Steffen souligne que l’opération laparoscopique en tant que telle est tout d’abord extrêmement sûre et ne comporte que peu de risques. La première opération est toujours moins risquée que les suivantes, mais cela dépend aussi de l’expérience des chirurgiens dans chaque clinique. Les complications qui peuvent survenir après les interventions sont beaucoup plus fréquentes. En premier lieu, il y a les carences, les problèmes digestifs et les problèmes au niveau de l’œsophage. Il faut toujours s’y attendre après une opération de l’obésité, c’est pourquoi un suivi à vie est également utile et recommandé. Les médecins généralistes doivent également en être conscients et cela sera abordé dès le premier entretien d’information.

Obésité et Corona

Actuellement, le virus Corona joue un rôle important dans l’ensemble de la société. Les personnes en surpoids qui y sont confrontées doivent s’attendre à une évolution plus grave après une infection en raison de leur constitution physique. Si les personnes en surpoids ont déjà des problèmes respiratoires, ceux-ci seront certainement encore plus importants en cas de COVID, a fortiori en cas de ventilation assistée ou artificielle. Il est difficile de décider de ne pas opérer maintenant les personnes en surpoids, car elles seront alors nettement plus touchées en cas d’infection ultérieure.

Le rôle des médecins généralistes

Le premier réflexe des personnes en surpoids qui souhaitent améliorer leur situation est toujours de consulter leur médecin généraliste. Le cas échéant, ce dernier procédera alors à une orientation vers les médecins spécialistes. Dans ce cas, les cabinets de Swiss1Chirurgie sont recommandés comme centres de compétence pour les interventions bariatriques. Le médecin généraliste pourrait également être le premier point de contact pour fournir des informations appropriées au patient. De plus, en tant que Swiss1Chirurgie, nous proposons avec le ZfbC une offre d’information complète pour toutes les personnes concernées. Cela va de nos consultations spécialisées aux informations détaillées et complètes disponibles sur Internet et via notre application. Toutefois, s’informer sur n’importe quel site ou endroit sur Internet comporte toujours le risque d’accéder à des informations erronées. Le Dr Steffen renvoie volontiers aux pages de Swiss1Chirurgie qui, contrairement à n’importe quel forum ou chatroom, fournissent des informations extrêmement correctes, complètes et structurées.

Swiss1Chirurgie informe les patients et les endocrinologues

Nouveau cadre réglementaire pour les opérations de l’obésité

A partir du 1er janvier 2021, il sera possible de se faire opérer de l’obésité à partir d’un IMC de 30+ en présence d’un diabète de type 2. L’une des conditions préalables est que le diabète ne puisse plus être contrôlé de manière sûre par des moyens conventionnels. Seules quelques cliniques spécialisées sont autorisées à pratiquer de telles opérations. Les cabinets de Swiss1Chirurgie, qui proposent de telles interventions dans le cadre de l’association Helvetia Holding AG, en font également partie. Apprenez-en plus sur la décision du BAG.

Opérations de surcharge pondérale possibles dès 2021 à partir d’un IMC de 30 avec diabète

L’obésité n’est pas une chose dont on peut se moquer. Toutes les personnes concernées le savent aussi bien que nous, en tant que médecins spécialisés. Depuis des années, les experts de Swiss1Chirurgie observent l’évolution de l’obésité dans les pays industrialisés modernes. Il est de plus en plus évident que la proportion de personnes en surpoids est de plus en plus importante. Les restrictions et les troubles individuels ne sont pas les seuls à être liés à cette situation. En raison d’une surabondance de nourriture en tout temps et en tout lieu et d’un comportement alimentaire erroné en conséquence, les sociétés saines deviennent rapidement des sociétés malades dont le défaut est avant tout l’abondance.

Jusqu’à présent, les assurances maladie et les organisations médicales se sont mises d’accord avec les politiques en Suisse pour que les interventions chirurgicales visant à réduire le poids ne soient possibles et financées en conséquence qu’à partir d’un IMC de 35 et plus. Ce faisant, on a complètement ignoré le fait qu’un IMC à partir de 35 est déjà une valeur extrêmement élevée, qui est déjà liée à de nombreuses maladies et troubles consécutifs. De telles maladies concomitantes ne compliquent pas seulement la vie des patients eux-mêmes, mais constituent aussi souvent un frein évident à la préparation et à la réalisation des opérations nécessaires en cas de surpoids.

A partir de 2021, le seuil sera de 30 IMC

Conformément aux interventions des médecins spécialistes et à un suivi précis de l’évolution, le monde politique a décidé, en collaboration avec le monde médical, d’abaisser désormais le seuil des interventions bariatriques dans le cadre d’une chirurgie de l’obésité à un IMC de 30, à condition que les patients soient également touchés par le diabète.

Cette décision, attendue depuis longtemps, profite aux patients qui, jusqu’à présent, n’entraient pas dans le cercle des patients pour lesquels une opération de l’obésité était envisageable, malgré un diagnostic d’obésité accompagné d’un tableau clinique correspondant.

Cela permet de traiter beaucoup plus rapidement de multiples pathologies étroitement liées à l’obésité et de procéder également aux interventions chirurgicales nécessaires et souhaitées. Cela aura un impact durable sur la qualité de vie des personnes ayant un IMC supérieur à 30 et souffrant de diabète et, en fin de compte, réduira la proportion de personnes en surpoids important, avec les coûts sociaux et économiques que cela implique.

Avantages surtout chez les personnes

Les avantages déterminants de cette décision sont maintenant surtout pour les personnes qui, avec un IMC à partir de 30 et un diabète, sont déjà clairement concernées par l’obésité pathologique. Désormais, le calvaire de ces personnes peut être considérablement raccourci. Cela aussi parce que cela n’a manifestement aucun sens d’attendre d’avoir un IMC énormément élevé, de 35 ou plus, pour qu’une intervention chirurgicale visant à réduire le poids soit rendue possible par la réglementation.

L’un des principaux avantages de cette décision est qu’elle permet de limiter considérablement l’ampleur de la surcharge pondérale et des maladies associées et secondaires telles que le diabète, les maladies cardio-vasculaires et l’arthrose. Le parcours de souffrance psychique peut également être nettement raccourci et les patients à partir d’un IMC de 30 avec diabète peuvent désormais se confier à des spécialistes expérimentés de la chirurgie de l’obésité. Les cabinets de Swiss1Chirurgie font partie des cliniques médicales spécialisées qui, à partir du 01.01.2021, seront autorisées à pratiquer des interventions chirurgicales de réduction du surpoids à partir d’un IMC de 30 avec diabète.

Déterminez ici votre IMC et découvrez si et dans quelles conditions vous faites partie des candidats potentiels à une opération de l’obésité.

VERS LE CALCULATEUR BMI

Par ailleurs, nous recommandons à toutes les personnes en forte surcharge pondérale de prendre contact avec un cabinet de Swiss1Chirurgie. Vous faites ainsi le premier pas vers un avenir meilleur et plus sain en 2021 et utilisez les possibilités de la médecine moderne pour améliorer votre vie.

Prendre contact avec Swiss1Chirurgie ici.

Le ballon gastrique n’est qu’une « béquille » pour les patients en surpoids

Les personnes souffrant d’un surpoids pathologique cherchent des solutions rapides. L’utilisation d’un ballon gastrique promet une telle solution rapide. Toutefois, un tel ballon gastrique n’est rien d’autre qu’une « béquille » dans le traitement de l’obésité. Les experts en obésité de Swiss1Chirurgie, du Centre de chirurgie bariatrique ZfbC et du cabinet de groupe de gastroentérologie de Berne le savent bien. L’article détaillé compare les avantages de la chirurgie bariatrique aux effets rapides d’un ballon gastrique. Le rapport complet est disponible ici.

Le ballon gastrique – le meilleur moyen de se tromper soi-même ?

Pourquoi le ballon gastrique est une moins bonne alternative à la chirurgie bariatrique

Les personnes qui souffrent durablement d’une forte surcharge pondérale et qui se sentent exposées à une stigmatisation correspondante de la part de leur environnement social cherchent souvent des solutions rapides pour réduire leur poids corporel. Les personnes touchées par l’obésité et les maladies qui l’accompagnent ou qui en découlent souhaitent des mesures et des traitements efficaces pour changer leur situation de vie. Le ballon gastrique permet de remédier rapidement à ce problème. Sans intervention chirurgicale, sans régime restrictif, sans mauvaise perception et même sans modification du comportement en matière d’activité physique, un ballon gastrique permettrait d’obtenir une réduction rapide du poids. Mais la première impression est aussi trompeuse que les premiers succès.

Comment fonctionne le ballon gastrique

Le ballon gastrique promet des résultats rapides en matière de perte de poids. Vous découvrirez pourquoi ce n’est qu’une moitié de la vérité dans l’article détaillé des experts en obésité de Swiss1Chirurgie.

Le ballon gastrique est généralement introduit dans l’estomac par gastroscopie et rempli d’une solution saline au cours de la même procédure. Depuis peu, certains centres font également la promotion d’une variante « à avaler » – le ballon est avalé et rempli par un tube – sans aucune gastroscopie. Un corps étranger est ainsi installé dans l’estomac, ce qui réduit considérablement le volume gastrique disponible pour l’absorption des aliments.

En conséquence, l’ingestion de quantités relativement faibles d’aliments provoque déjà une sensation de satiété, qui peut toutefois être très trompeuse. En raison de cette sensation de satiété précoce, de nombreux patients pensent pouvoir perdre du poids durablement, rapidement et facilement, sans intervention chirurgicale, grâce au ballon gastrique. Souvent, cela s’accompagne de nausées et de vomissements fréquents, qui contribuent indirectement à la perte de poids, de manière plutôt désagréable.

En effet, certains rapports indiquent que le ballon gastrique permet de perdre entre 10 et 25 kilos sur une période de temps raisonnable. Il faut toutefois garder à l’esprit que, pour perdre du poids efficacement, ce n’est pas tant la quantité que la qualité de la nourriture qui compte. Les personnes qui, après la pose d’un ballon gastrique, consomment des boissons très caloriques, des aliments gras ou beaucoup d’aliments riches en sucre pour satisfaire leurs besoins, ne parviendront pas automatiquement au succès, même avec une masse réduite. Sans un changement conséquent de l’alimentation et de l’activité physique, les tentatives de perte de poids, même avec un ballon gastrique, ne sont guère efficaces à long terme. D’autant plus qu’un ballon gastrique ne peut être utilisé que temporairement.

Une auto-illusion systématique

Les experts en matière de traitement de l’obésité parlent d’auto-illusion systématique lorsqu’ils favorisent l’utilisation d’un ballon gastrique pour la perte de poids. Après tout, un tel ballon gastrique est justement un corps étranger dans l’estomac et, dans le meilleur des cas, une sorte de béquille dans le traitement de l’obésité. Et une béquille n’est pas une jambe sur laquelle on peut se tenir en toute sécurité.

Il faut également tenir compte du fait que le ballon gastrique n’est pas une solution durable. Selon sa qualité, un tel ballon gastrique peut rester dans l’estomac pendant 3, 6 ou, plus récemment, 12 mois maximum, après quoi il doit être retiré. Certes, il est possible de poser un nouveau ballon gastrique, mais l’escroquerie ne fait que continuer.

Les témoignages des personnes concernées montrent qu’il y a parfois de bons résultats, mais aussi beaucoup d’expériences négatives. Cela va des nausées persistantes aux vomissements spontanés, en passant par une sensation désagréable de plénitude, qui ne contribue justement pas au bien-être des patients. Si le ballon gastrique est porté pendant la durée recommandée de six mois maximum, il y a un risque que le ballon perde la solution saline, ce qui n’est pas tragique en soi. Ce qui est beaucoup plus dangereux, c’est que l’enveloppe alors flasque du ballon peut migrer dans l’intestin et y provoquer une dangereuse occlusion intestinale.

La chirurgie bariatrique est une meilleure méthode

Compte tenu des problèmes que pose l’utilisation d’un ballon gastrique, la chirurgie bariatrique est, dans la grande majorité des cas, la meilleure option pour les patients dont l’IMC est supérieur à 30 kg/m2 et qui sont diabétiques, ou pour les patients dont l’IMC est supérieur à 35 kg/m2 et qui ne sont pas diabétiques. Il s’agit de préférence d’une réduction de l’estomac par la formation d’un estomac tubulaire ou d’un bypass gastrique. De telles interventions visent à réduire le volume de l’estomac de manière conséquente et durable ou à faire en sorte que les aliments passent quasiment devant l’estomac. Ces deux méthodes impliquent des interventions chirurgicales, mais elles sont aujourd’hui pratiquées sous forme d’opérations laporoscopiques peu invasives. En complément de la chirurgie bariatrique, d’autres offres thérapeutiques sont proposées dans le but d’obtenir et de garantir des résultats à long terme en matière de perte de poids. Ainsi, dans la grande majorité des cas, l’intervention chirurgicale est la meilleure voie, la plus fiable et la plus durable pour traiter durablement l’obésité pathologique.

Quand l’utilisation d’un ballon gastrique peut être utile

Même si un ballon gastrique ne semble pas être un objectif pour une réduction de poids à long terme, il peut néanmoins être une solution transitoire judicieuse dans certains cas. Par exemple, lorsqu’une intervention chirurgicale n’est pas (encore) envisageable en raison d’un surpoids très important. Dans ce cas, le ballon gastrique peut aider à atteindre une perte de poids qui permet d’envisager une opération. Mais c’est tout.

Si l’on considère encore une fois que le ballon gastrique est fondamentalement un corps étranger qui ne peut être utilisé que temporairement et qui n’est finalement qu’une « béquille » pour la perte de poids, le ballon gastrique est exclu comme solution efficace et à long terme au problème de l’obésité.

Le conseil garantit les meilleurs résultats thérapeutiques

Toute personne qui se sait confrontée aux inconvénients physiques, sociaux et psychiques d’une surcharge pondérale pathologique devrait s’assurer les conseils d’un médecin spécialisé et d’un suivi professionnel. Les cabinets de Swiss1Chirurgie, le Centre de chirurgie bariatrique ZfbC ou le cabinet de groupe de gastroentérologie à Berne peuvent être un bon point de départ. Les patients y sont conseillés en détail, individuellement et ouvertement sur les chances, les risques et les possibilités d’une réduction de poids durable. Dans ce contexte, les experts de l’obésité s’intéressent toujours à des solutions à long terme plutôt qu’à un succès rapide mais moins fiable.

Lors d’une consultation spéciale à Swiss1Chirurgie, les patients apprennent également dans quels cas plutôt rares l’utilisation temporaire d’un ballon gastrique peut être utile pour préparer une opération bariatrique. Mais en même temps, il est toujours précisé que l’utilisation d’un ballon gastrique ne peut jamais être la solution durablement utile à un problème de surpoids pathologique.

Adipositas-Podcast.ch – Savoir ce qu’il en est

Avec le podcast sur l’obésité, vous trouverez sur adipositas-podcast.ch les informations actuelles et essentielles sur l’obésité, ses origines, son évolution, ses conséquences et ses possibilités de traitement. De véritables experts y parlent des causes et de l’origine de l’obésité morbide qui, avec ses manifestations telles que le surpoids, les maladies cardio-vasculaires, l’essoufflement, les maladies organiques, le diabète, la mobilité et les performances réduites ainsi que la stigmatisation sociale, limite fortement la vie des personnes concernées. Sur adipositas-podcast.ch, nous voulons toujours vous informer de manière professionnelle et complète et vous montrer en même temps des moyens de briser le cercle vicieux de l’obésité.

On peut accepter l’obésité comme un destin apparemment inéluctable et se laisser aller sans se défendre à ses conséquences néfastes. Mais il est tout aussi possible de comprendre l’obésité dans son évolution et de trouver des moyens de revenir à une vie autodéterminée, heureuse et désirable. Quelle est votre voie ?

Venez écouter des experts de Swiss1Chirurgie, du Centre de chirurgie bariatrique ou du Cabinet de groupe de gastroentérologie de Berne et découvrez ce qu’est l’obésité, ce que cela signifie pour la vie de chacun et quelles sont les voies qui permettent de sortir de la maladie. Vous accédez ainsi à des connaissances précieuses qui peuvent accompagner de manière déterminante votre propre parcours pour sortir de l’obésité. Les témoignages de patients et de personnes concernées ainsi que les connaissances des experts en obésité vous aideront à trouver votre propre voie pour sortir de la carrière fatale de l’obésité et à mener une vie plus saine et plus heureuse.

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RÉSECTION DE L’ŒSOPHAGE : LE TRAITEMENT DU CANCER DE L’ŒSOPHAGE

Par DR. MED. JÖRG ZEHETNER, Professeur (USC), Spécialiste en chirurgie, spéc. Chirurgie viscérale

CHAQUE ANNÉE EN SUISSE, ENVIRON 600 PERSONNES SONT ATTEINTES D’UN CANCER DE L’ŒSOPHAGE. LES HOMMES, QUI REPRÉSENTENT LES TROIS QUARTS DE TOUS LES CAS, SONT PARTICULIÈREMENT TOUCHÉS PAR CETTE MALADIE, BIEN PLUS SOUVENT QUE LES FEMMES. NOUS VOUS EXPLIQUONS EN QUOI CONSISTE LA RÉSECTION DE L’ŒSOPHAGE. LE REFLUX EST LE PLUS GRAND FACTEUR DE RISQUE DE CANCER DE L’ŒSOPHAGE.

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Un foie sain favorise une vie saine

Dr. med. Jörg Zehetner
Professeur (USC) MMM, FACS, FEBS (hon.)

La stéatose hépatique, la stéatose hépatique non alcoolique, la cirrhose du foie, le cancer du foie, l’hépatite en tant qu’inflammation du foie et de nombreuses autres maladies du foie sont très répandues. Selon les estimations, la proportion de personnes atteintes d’une stéatose hépatique diagnostiquée dans les pays européens industrialisés développés est d’environ 20 pour cent, avec un certain nombre de cas non recensés, car les évolutions de la maladie qui se déroulent facilement et sans symptômes ne sont guère reconnues.

On distingue trois degrés de gravité de la stéatose hépatique, tout d’abord indépendamment du fait qu’il s’agisse d’une stéatose hépatique alcoolique ou non alcoolique.

  • Foie gras léger – Dans ce cas, moins d’un tiers des cellules du foie sont touchées par un excès de graisse.
  • Foie gras modéré – A ce stade, une proportion inférieure à deux tiers mais supérieure à un tiers du foie est déjà excessivement grasse.
  • Foie gras sévère – Dans ce degré de gravité de la stéatose hépatique, plus des deux tiers des cellules du foie sont déjà excessivement grasses.

L’obésité des cellules hépatiques résulte d’un stockage de graisse dans les cellules hépatiques, ce qui finit par altérer considérablement la fonction du foie en tant qu’organe important. Des maladies secondaires ou des maladies associées telles que le diabète ne sont pas exclues, mais sont souvent une complication due à la perturbation du métabolisme des graisses dans le foie.

La gravité de la stéatose hépatique peut être déterminée par l’examen d’un échantillon de tissu du foie. Il s’agit de prélever une minuscule partie de l’organe et de la soumettre à un examen de tissu fin. Des examens du taux de cholestérol ou des lipides sanguins fournissent également des informations précieuses.

Un foie sain favorise une vie saine
Un foie sain favorise une vie saine

Foie gras alcoolique ou non alcoolique ?

De nombreuses maladies du foie sont diagnostiquées comme étant étroitement liées à la consommation excessive d’alcool. Ceux qui connaissent un peu mieux la composition chimique de l’alcool savent qu’il s’agit d’une forme modifiée de sucre, c’est-à-dire d’hydrates de carbone. Un excès d’hydrates de carbone se dépose dans le corps sous forme de graisse et trouve notamment sa place dans le foie. En conséquence, de nombreux alcooliques chroniques sont touchés par des maladies du foie, voire des formes graves.

Mais aussi, et cela devrait être préoccupant, une grande proportion de maladies du foie non liées à l’alcool se répand dans la société. Ces manifestations de la stéatose hépatique sont principalement dues à de mauvaises habitudes alimentaires et de vie, qui se traduisent notamment par une alimentation trop riche en graisses et en sucres. Ce que le corps ne peut pas traiter, il le dépose non seulement dans les dépôts de graisse des couches inférieures de la peau, mais aussi dans le foie, ce qui conduit à la stéatose hépatique.

Que faire en cas de foie gras ?

Une fois qu’une stéatose hépatique alcoolique a été diagnostiquée, la seule solution est de suivre un régime strict.
et l’abandon systématique de l’alcool. Seul le renoncement radical aux boissons alcoolisées peut encore offrir une lueur d’espoir d’atténuer les effets de l’abus d’alcool sur la santé du foie.

En cas de stéatose hépatique non alcoolique, les chances de guérison sont relativement bonnes, selon le degré de gravité. Il est important de modifier systématiquement son alimentation et de pratiquer une activité physique. Ce changement peut être soutenu par ce que l’on appelle le jeûne hépatique, auquel nous nous consacrerons plus en détail dans une section séparée. En principe, il faut toujours éviter une cicatrisation du tissu hépatique, appelée cirrhose dans le jargon médical. Une cirrhose du foie n’est pas réparable et représente une modification structurelle dangereuse du tissu hépatique qui ne peut pas être inversée.

Une fois qu’une stéatose hépatique a été diagnostiquée, il est important de procéder à des changements réels, en fonction de la gravité, afin de stopper le processus de stéatose hépatique et, si possible, de l’inverser. Des mesures en demi-teinte sont relativement peu utiles. Aussi parce qu’une rechute dans d’anciennes habitudes de vie et d’alimentation entraînera toujours une détérioration progressive du foie.

Un traitement médicamenteux ou chirurgical de la stéatose hépatique n’est pas possible. En cas de foie gras, la seule solution est d’agir sur les causes, qui peuvent être une consommation excessive d’alcool, une mauvaise alimentation trop riche en graisses ou une combinaison des deux. Certaines formes rares de stéatose hépatique sont dues à des médicaments ou à d’autres épisodes, mais elles sont à négliger dans cet article.

Qui est concerné ?

Si l’on suit les statistiques, environ 20 pour cent de notre société sont touchés par une stéatose hépatique non alcoolique. L’âge des patients se situe entre 40 et 60 ans, les femmes étant un peu plus touchées par la stéatose hépatique que les hommes.

Il convient de noter que de nombreux patients souffrant de stéatose hépatique sont nettement en surpoids (obésité) ou souffrent déjà de diabète à différents niveaux. Des taux élevés de lipides sanguins sont aussi fréquents que l’apparition d’un syndrome métabolique.

Même si les causes réelles d’une stéatose hépatique n’ont pas encore été entièrement étudiées, on peut supposer qu’il existe fondamentalement un déséquilibre entre l’apport énergétique et la dépense énergétique. L’organisme reçoit donc, à long terme ou de manière permanente, nettement plus de calories qu’il n’en dépense réellement.

Même si la perception générale associe souvent la stéatose hépatique à l’abus d’alcool, la proportion de stéatoses hépatiques non alcooliques est nettement plus élevée que celle des maladies alcooliques du foie gras.

Le jeûne hépatique selon le Dr Worm – une bonne thérapie en cas de stéatose hépatique non alcoolique

Un jeûne hépatique selon le Dr Worm est un moyen éprouvé de lutter individuellement et avec succès contre une stéatose hépatique. Même en l’absence d’un diagnostic médical concret, mais surtout après le diagnostic d’une stéatose hépatique non alcoolique, le jeûne du foie selon le Dr Worm offre d’excellentes possibilités de dégraissage ciblé et sain du foie, sans pour autant solliciter l’organisme de manière excessive. Mais il faut aussi dire que toute forme d’alimentation diététique, donc aussi le jeûne hépatique selon le Dr Worm, ne fonctionne pas sans renoncement et sans volonté personnelle.

Voici comment fonctionne le jeûne hépatique selon le Dr Worm

Le Dr Nicolai Worm est l’un des nutritionnistes les plus connus de notre époque. Worm a développé le jeûne hépatique avec Hepafast en collaboration avec le docteur en médecine nutritionnelle Hardy Walle. Pourtant, un tel régime n’est pas une nouveauté, loin de là, mais repose sur l’expérience de plusieurs décennies de recherche, de science et de pratique.

La particularité de la cure Hepafast est qu’elle se base spécifiquement sur les exigences et les conditions physiques liées à la stéatose hépatique. Cela signifie que la cure de jeûne hépatique Hepafast, ciblée et limitée à quelques semaines, permet d’influencer de manière ciblée les taux de graisse du foie.

Si la cure de jeûne hépatique du Dr Worm est suivie correctement, le métabolisme des graisses est naturellement influencé, ce qui entraîne également une perte de poids générale dans la majorité des cas. Tant les taux de lipides sanguins que les taux de lipides hépatiques se rétablissent sensiblement, le succès du jeûne hépatique peut être observé et vécu par l’utilisateur lui-même. Contrairement à de nombreux autres régimes, il ne faut pas s’attendre à l’effet yoyo redouté, car le jeûne hépatique du Dr Worm n’est pas un régime de famine, mais s’accompagne de précieux ingrédients dans une boisson facile à préparer.

Bien entendu, le jeûne hépatique avec l’Hepafast n’a aucun sens si l’alimentation et le mode de vie en général ne sont pas modifiés en même temps. Cependant, comme Hepafast agit naturellement et rassasie, il n’est pas nécessaire de continuer à consommer des quantités excessives de nourriture, que ce soit en termes de ressenti ou de faits. Les personnes concernées se nourrissent donc plus raisonnablement et plus sainement, ne doivent pas s’affamer et complètent simplement leur alimentation avec Hepafast. Il en résulte une nette diminution des taux de graisse et donc une amélioration de la santé, qui se traduit également par une amélioration des performances au bout de quelques semaines seulement.

Quand le jeûne hépatique selon le Dr Worm est-il utile ?

En principe, le jeûne du foie selon le Dr Worm est toujours indiqué au plus tard lorsque les symptômes d’une stéatose hépatique sont constatés. Toutefois, la première phase de la stéatose hépatique n’est pas associée à des symptômes et passe donc généralement inaperçue.

C’est pourquoi il est bon de savoir que le jeûne hépatique du Dr Worm peut également être effectué de manière préventive, sans carences ni changements trop brusques des habitudes de vie. Pas à pas, les utilisateurs peuvent se familiariser avec le mode d’action du jeûne hépatique et sont ensuite eux-mêmes guidés vers un mode de vie et des habitudes alimentaires plus raisonnables.

Un jeûne hépatique selon le Dr Worm est particulièrement recommandé après la saison froide. En hiver, la plupart des gens font de toute façon un peu moins d’exercice, les repas copieux et gras font souvent partie du quotidien en hiver et la période de Noël et du printemps est le meilleur moment pour réactiver le corps. D’autant plus que le Carême battra alors son plein de toute façon. En outre, le jeûne hépatique selon le Dr Worm avec l’Hepafast peut être utilisé pratiquement tout au long de l’année.

Voici comment fonctionne le jeûne hépatique avec l’Hepafast

Nicolai Worm et le Dr. med. Hardy Walle ont élaboré une recette qui permet d’influencer positivement et de manière mesurable les taux de graisse hépatique. La composition spéciale et la facilité d’utilisation de la cure hépatique Hepafast contribuent à stimuler la combustion des graisses et à réduire avec succès le stockage des graisses dans les cellules hépatiques. Enfin, les composants de la cure Hepafast agissent également sur les graisses déjà stockées dans le foie et peuvent les éliminer efficacement.

La condition préalable à la réussite d’une cure de jeûne hépatique avec Hepafast reste un changement judicieux des habitudes de vie et d’alimentation… Hepafast n’est pas un remède miracle, mais un soutien nutritionnellement composé pour dégraisser le foie et améliorer globalement le comportement alimentaire. En conséquence, Hepafast n’est pas non plus un complément alimentaire, mais remplace une partie de l’alimentation par des composants actifs sur le foie lorsqu’il est utilisé conformément à sa destination.

Concrètement, cela peut se traduire par exemple par le remplacement du déjeuner ou d’un autre repas par un shake Hepafast préparé conformément à l’usage prévu. Il n’y a pas lieu de craindre une sensation de faim, car l’Hepafast est rassasiant et peut en même temps décomposer les molécules de graisse dans le corps. La crainte d’une alimentation déséquilibrée ou d’une malnutrition n’est pas non plus justifiée, car même en utilisant Hepafast, il est possible de prendre d’autres repas qui contiennent alors les substances dont le corps a besoin. Une cure hépatique Bodymed Hepafast n’est pas un régime qui mise à priori sur le renoncement, mais plutôt sur une influence ciblée sur la combustion des graisses dans le corps. Dans le cas idéal, Hepafast aide non seulement à brûler les cellules graisseuses, mais peut également favoriser la perte de poids. En outre, les effets du jeûne hépatique avec l’Hepafast stimulent les forces et l’énergie du corps, ce qui peut conduire à un meilleur bien-être et à une meilleure performance. Il est important de savoir que le jeûne hépatique selon le Dr Worm ne vise pas une perte de poids radicale ou importante, mais une fonction hépatique naturellement irréprochable.

Témoignages avec Bodymed Hepafast Jeûne hépatique selon le Dr Worm

Des années après la première introduction du jeûne hépatique selon le Dr Worm, il existe des milliers d’utilisateurs enthousiastes et couronnés de succès qui ont pu non seulement faire régresser le degré de stéatose hépatique, mais aussi agir de manière préventive contre une éventuelle stéatose hépatique. Et ce, avec relativement peu d’efforts et de renoncements, mais une forme d’alimentation saine pour le foie, qui est parfaitement soutenue par l’Hepafast.

Dans les cabinets de Swiss1Chirurgie, nous soutenons et recommandons également le jeûne hépatique, sachant que les personnes en surpoids, en particulier, souffrent souvent d’une stéatose hépatique non alcoolique, même si elles ne le ressentent pas toujours immédiatement. Une fonction hépatique saine participe de manière déterminante au bien-être. Inversement, une alimentation équilibrée, variée et saine favorise toujours la santé du foie. Le jeûne hépatique Hepafast du Dr Worm est un excellent moyen de soutenir ce processus.

Voici quelques réactions de personnes qui pratiquent régulièrement le jeûne hépatique selon le Dr Worm.

« En tant que joueur et entraîneur, j’accorde depuis des années une grande importance à mon alimentation.
J’ai essayé de nombreuses idées et projets différents afin de pouvoir discuter avec mes joueurs de l’optimisation des performances.

Il y a trois ans, sur recommandation, j’ai détoxifié mon foie pour la première fois de manière consciente.
J’étais impatient de voir ce que le corps allait faire de moi.
14 jours de discipline de fer. Shake protéiné, légumes, comptage des calories, telle était la routine qui m’accompagnait chaque jour.

Résultat : 5 kilos perdus, vitalité, motivation, rêves, forme d’esprit, gestion consciente de l’alimentation et plaisir réel.
Pas une seule fois je n’ai eu l’impression d’avoir faim. J’ai pu découvrir de nombreux menus intéressants et créatifs.
En bref, « ça en valait la peine ».

Je vous recommande vivement le jeûne hépatique en toute bonne conscience.
Conclusion : fais-toi plaisir en attendant la chance. »

Martin Andermatt, footballeur et entraîneur de légende


« Grâce au jeûne hépatique, j’ai vécu une expérience unique au début de chacune des dernières années.

Que ce soit lors d’une randonnée en raquettes dans l’arène Ottmar Hitzfeld Gspon ou dans mon bureau à domicile, que ce soit lors de l’événement CSI à Bâle ou des courses du Lauberhorn à Wengen, pendant 14 jours,
le jeûne hépatique a modifié ma conscience. Pendant 14 jours, le shake Bodymed au goût parfait m’a accompagné fidèlement et a fait de chaque jour un plaisir.

J’ai pu expérimenter des choses positives : Meilleur bien-être, sommeil plus profond, diminution de la fatigue, alimentation saine, perte de poids. Et le jeûne hépatique s’accompagne
d’autres effets secondaires bienvenus – on gagne un temps précieux, on ménage son porte-monnaie et on acquiert de nouvelles habitudes culinaires.

« Le jeûne hépatique est pour moi synonyme de santé avec 5 étoiles. »

Et qui sait, avec un peu de chance, ces rêves intenses deviendront réalité grâce au jeûne hépatique … « 

Fabian Furrer


« Je m’offre une à deux fois par an une cure de jeûne hépatique de l’Hepafast. Avec un IMC de 24, je ne fais pas cela pour réguler mon poids, mais parce que cela représente un bien-être pour mon corps. Je me sens nettement plus fraîche après la cure, ce que confirment également mes valeurs sanguines (cholestérol et valeurs hépatiques).
Mais le plus important pour moi, c’est qu’avec la cure Hepafast, je ne dois à aucun moment m’affamer ! Les shakes ont bon goût et donnent une bonne sensation de satiété. Les repas recommandés à cet effet sont faciles à préparer et apportent beaucoup de variété dans les menus. Et pour finir : Je suis souvent en déplacement, mais je peux facilement emporter les shakes et les snacks de légumes pour les préparer et les déguster « sur le pouce ». »

Markus Fuhrer


« Je suis très satisfait du jeûne hépatique selon le Dr Worm, Hepafast, qui m’a été prescrit par le Dr Jörg Zehetner. Mes valeurs de laboratoire, en particulier le cholestérol, sont maintenant toutes à un bon niveau et j’ai perdu 15 kg en un an, car mes habitudes alimentaires ont changé après le jeûne. Je vais répéter la cure chaque printemps pour rester en forme ».

Erika Fuhrer


On pourrait maintenant prolonger presque à l’infini la série d’expériences avec l’Hepafast et un jeûne hépatique selon le Dr Worm. Nous sommes toutefois d’avis que seul l’essai personnel avec les expériences très personnelles en matière de jeûne hépatique est vraiment utile et judicieux.

En conséquence, nous recommandons à Swiss1Chirurgie de faire ses propres expériences avec le jeûne hépatique selon le Dr Worm. « Car il n’y a de bien que si on le fait ! »

Vous obtiendrez volontiers des conseils professionnels et médicaux sur le jeûne hépatique selon le Dr Worm avec l’Hepafast dans tous les cabinets de Swiss1Chirurgie et dans les autres cabinets affiliés au sein de l’Helvetia Holding AG.

Conseil spécialisé sur le jeûne hépatique :

Savoir ce qui est – Les podcasts de Swiss1Chirurgie apportent des éclaircissements

Le besoin d’informations sur les questions médicales spécialisées est de plus en plus important. Les personnes concernées qui sont confrontées à des questions et des problèmes médicaux cherchent également sur Internet des réponses à leurs questions individuelles. Malheureusement, les informations en ligne issues des résultats des moteurs de recherche de Google et autres ne sont pas toujours pertinentes et, dans de nombreux cas, ne sont pas suffisamment fondées sur le plan technique. En conséquence, de nombreuses personnes se trouvent dans une zone grise entre l’autodiagnostic avec des informations pas toujours fiables et le besoin d’un diagnostic approfondi et surtout objectivement correct par les spécialistes concernés.

Les experts de Swiss1Chirurgie ont reconnu depuis longtemps le besoin d’informations complètes et surtout professionnelles et proposent sur les sites Internet de Swiss1Chirurgie, du Centre de chirurgie bariatrique ZFBC, du Cabinet de groupe de gastroentérologie GGP Berne et du Praxiszentrum Bern PZBE des possibilités d’information complètes sur des questions médicales spécialisées dans leurs domaines de prestations respectifs.

Dernier article :

[podigee-player url= »https://nachsorge-swiss1chirurgie.podigee.io/5-neue-episode »]

Swiss1Chirurgie Podcasts – Ecouter au lieu de lire

Les podcasts, proposés à l’initiative et sous le contrôle du contenu du Dr Jörg Zehetner, constituent une offre d’information encore relativement récente pour les profanes en médecine, mais aussi pour les collègues spécialistes.

Il existe ainsi une offre d’information professionnelle, également pour les personnes concernées, qui peuvent y obtenir un premier aperçu des diagnostics, des interventions médicales, des techniques opératoires et des soins postopératoires ainsi que des offres d’accompagnement.

Actuellement, des podcasts sont disponibles sur les thèmes suivants :

  • Connaissances médicales – Obésité (Chirurgie bariatrique complexe)
  • Connaissances médicales et conseils d’experts sur Radio Bern1
  • Swiss1Chirurgie informe les patients et les endocrinologues (opérations de l’obésité possibles à partir d’un IMC de 30 avec diabète)
  • Le ballon gastrique n’est qu’une « béquille » pour les patients en surpoids
  • Les hernies inguinales et les réseaux 3-D modernes
  • Hernies de la paroi abdominale, fermeture avec filet

D’autres podcasts sont en cours d’élaboration et élargissent constamment l’offre d’informations pour les patients mais aussi pour les médecins traitants.

Avec les podcasts, Swiss1Chirurgie, en tant que centre expert de l’obésité et centre des hernies, a créé une possibilité d’information élargie qui rend les connaissances disponibles et donne en même temps les recommandations appropriées.

Il est important de noter que les personnes concernées par un problème chirurgical peuvent également prendre contact directement et à tout moment avec les cabinets Swiss1Chirurgie de Berne, Brigue et Soleure. Il est ainsi possible de poser des diagnostics fondés sur des « cas suspects » individuels, ce qui permet un traitement professionnel ultérieur.

Vous trouverez les podcasts de Swiss1Chirurgie directement sur https://www.swiss1chirurgie.ch/podcast-uebersicht mais aussi sur

  • Spotify
  • Deezer
  • Apple Podcasts
  • Google Podcasts
  • amazon music et
  • Podimo

ou sur le lien :

  • adipositas-podcast.ch
  • hernien-podcast.ch

Les personnes ayant besoin d’informations sur les offres de prestations de Swiss1Chirurgie sont invitées à faire usage de l’offre gratuite de podcasts de Swiss1Chirurgie. Savoir ce qui est est toujours mieux que de deviner ce qui pourrait être.

Thun, nouveau site de Swiss1Chirurgie

Le besoin de prestations professionnelles dans le domaine de la chirurgie de l’obésité augmente. Aussi à Thoune et dans les environs. Et ce n’était qu’une étape logique que le cabinet du Dr Naef à Thoune fasse désormais partie du réseau d’établissements spécialisés de Swiss1Chirurgie. L’article vous en dira plus à ce sujet.

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