Le ballon gastrique n’est qu’une « béquille » pour les patients en surpoids

Les personnes souffrant d’un surpoids pathologique cherchent des solutions rapides. L’utilisation d’un ballon gastrique promet une telle solution rapide. Toutefois, un tel ballon gastrique n’est rien d’autre qu’une « béquille » dans le traitement de l’obésité. Les experts en obésité de Swiss1Chirurgie, du Centre de chirurgie bariatrique ZfbC et du cabinet de groupe de gastroentérologie de Berne le savent bien. L’article détaillé compare les avantages de la chirurgie bariatrique aux effets rapides d’un ballon gastrique. Le rapport complet est disponible ici.

Le ballon gastrique – le meilleur moyen de se tromper soi-même ?

Pourquoi le ballon gastrique est une moins bonne alternative à la chirurgie bariatrique

Les personnes qui souffrent durablement d’une forte surcharge pondérale et qui se sentent exposées à une stigmatisation correspondante de la part de leur environnement social cherchent souvent des solutions rapides pour réduire leur poids corporel. Les personnes touchées par l’obésité et les maladies qui l’accompagnent ou qui en découlent souhaitent des mesures et des traitements efficaces pour changer leur situation de vie. Le ballon gastrique permet de remédier rapidement à ce problème. Sans intervention chirurgicale, sans régime restrictif, sans mauvaise perception et même sans modification du comportement en matière d’activité physique, un ballon gastrique permettrait d’obtenir une réduction rapide du poids. Mais la première impression est aussi trompeuse que les premiers succès.

Comment fonctionne le ballon gastrique

Le ballon gastrique promet des résultats rapides en matière de perte de poids. Vous découvrirez pourquoi ce n’est qu’une moitié de la vérité dans l’article détaillé des experts en obésité de Swiss1Chirurgie.

Le ballon gastrique est généralement introduit dans l’estomac par gastroscopie et rempli d’une solution saline au cours de la même procédure. Depuis peu, certains centres font également la promotion d’une variante « à avaler » – le ballon est avalé et rempli par un tube – sans aucune gastroscopie. Un corps étranger est ainsi installé dans l’estomac, ce qui réduit considérablement le volume gastrique disponible pour l’absorption des aliments.

En conséquence, l’ingestion de quantités relativement faibles d’aliments provoque déjà une sensation de satiété, qui peut toutefois être très trompeuse. En raison de cette sensation de satiété précoce, de nombreux patients pensent pouvoir perdre du poids durablement, rapidement et facilement, sans intervention chirurgicale, grâce au ballon gastrique. Souvent, cela s’accompagne de nausées et de vomissements fréquents, qui contribuent indirectement à la perte de poids, de manière plutôt désagréable.

En effet, certains rapports indiquent que le ballon gastrique permet de perdre entre 10 et 25 kilos sur une période de temps raisonnable. Il faut toutefois garder à l’esprit que, pour perdre du poids efficacement, ce n’est pas tant la quantité que la qualité de la nourriture qui compte. Les personnes qui, après la pose d’un ballon gastrique, consomment des boissons très caloriques, des aliments gras ou beaucoup d’aliments riches en sucre pour satisfaire leurs besoins, ne parviendront pas automatiquement au succès, même avec une masse réduite. Sans un changement conséquent de l’alimentation et de l’activité physique, les tentatives de perte de poids, même avec un ballon gastrique, ne sont guère efficaces à long terme. D’autant plus qu’un ballon gastrique ne peut être utilisé que temporairement.

Une auto-illusion systématique

Les experts en matière de traitement de l’obésité parlent d’auto-illusion systématique lorsqu’ils favorisent l’utilisation d’un ballon gastrique pour la perte de poids. Après tout, un tel ballon gastrique est justement un corps étranger dans l’estomac et, dans le meilleur des cas, une sorte de béquille dans le traitement de l’obésité. Et une béquille n’est pas une jambe sur laquelle on peut se tenir en toute sécurité.

Il faut également tenir compte du fait que le ballon gastrique n’est pas une solution durable. Selon sa qualité, un tel ballon gastrique peut rester dans l’estomac pendant 3, 6 ou, plus récemment, 12 mois maximum, après quoi il doit être retiré. Certes, il est possible de poser un nouveau ballon gastrique, mais l’escroquerie ne fait que continuer.

Les témoignages des personnes concernées montrent qu’il y a parfois de bons résultats, mais aussi beaucoup d’expériences négatives. Cela va des nausées persistantes aux vomissements spontanés, en passant par une sensation désagréable de plénitude, qui ne contribue justement pas au bien-être des patients. Si le ballon gastrique est porté pendant la durée recommandée de six mois maximum, il y a un risque que le ballon perde la solution saline, ce qui n’est pas tragique en soi. Ce qui est beaucoup plus dangereux, c’est que l’enveloppe alors flasque du ballon peut migrer dans l’intestin et y provoquer une dangereuse occlusion intestinale.

La chirurgie bariatrique est une meilleure méthode

Compte tenu des problèmes que pose l’utilisation d’un ballon gastrique, la chirurgie bariatrique est, dans la grande majorité des cas, la meilleure option pour les patients dont l’IMC est supérieur à 30 kg/m2 et qui sont diabétiques, ou pour les patients dont l’IMC est supérieur à 35 kg/m2 et qui ne sont pas diabétiques. Il s’agit de préférence d’une réduction de l’estomac par la formation d’un estomac tubulaire ou d’un bypass gastrique. De telles interventions visent à réduire le volume de l’estomac de manière conséquente et durable ou à faire en sorte que les aliments passent quasiment devant l’estomac. Ces deux méthodes impliquent des interventions chirurgicales, mais elles sont aujourd’hui pratiquées sous forme d’opérations laporoscopiques peu invasives. En complément de la chirurgie bariatrique, d’autres offres thérapeutiques sont proposées dans le but d’obtenir et de garantir des résultats à long terme en matière de perte de poids. Ainsi, dans la grande majorité des cas, l’intervention chirurgicale est la meilleure voie, la plus fiable et la plus durable pour traiter durablement l’obésité pathologique.

Quand l’utilisation d’un ballon gastrique peut être utile

Même si un ballon gastrique ne semble pas être un objectif pour une réduction de poids à long terme, il peut néanmoins être une solution transitoire judicieuse dans certains cas. Par exemple, lorsqu’une intervention chirurgicale n’est pas (encore) envisageable en raison d’un surpoids très important. Dans ce cas, le ballon gastrique peut aider à atteindre une perte de poids qui permet d’envisager une opération. Mais c’est tout.

Si l’on considère encore une fois que le ballon gastrique est fondamentalement un corps étranger qui ne peut être utilisé que temporairement et qui n’est finalement qu’une « béquille » pour la perte de poids, le ballon gastrique est exclu comme solution efficace et à long terme au problème de l’obésité.

Le conseil garantit les meilleurs résultats thérapeutiques

Toute personne qui se sait confrontée aux inconvénients physiques, sociaux et psychiques d’une surcharge pondérale pathologique devrait s’assurer les conseils d’un médecin spécialisé et d’un suivi professionnel. Les cabinets de Swiss1Chirurgie, le Centre de chirurgie bariatrique ZfbC ou le cabinet de groupe de gastroentérologie à Berne peuvent être un bon point de départ. Les patients y sont conseillés en détail, individuellement et ouvertement sur les chances, les risques et les possibilités d’une réduction de poids durable. Dans ce contexte, les experts de l’obésité s’intéressent toujours à des solutions à long terme plutôt qu’à un succès rapide mais moins fiable.

Lors d’une consultation spéciale à Swiss1Chirurgie, les patients apprennent également dans quels cas plutôt rares l’utilisation temporaire d’un ballon gastrique peut être utile pour préparer une opération bariatrique. Mais en même temps, il est toujours précisé que l’utilisation d’un ballon gastrique ne peut jamais être la solution durablement utile à un problème de surpoids pathologique.

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On peut accepter l’obésité comme un destin apparemment inéluctable et se laisser aller sans se défendre à ses conséquences néfastes. Mais il est tout aussi possible de comprendre l’obésité dans son évolution et de trouver des moyens de revenir à une vie autodéterminée, heureuse et désirable. Quelle est votre voie ?

Venez écouter des experts de Swiss1Chirurgie, du Centre de chirurgie bariatrique ou du Cabinet de groupe de gastroentérologie de Berne et découvrez ce qu’est l’obésité, ce que cela signifie pour la vie de chacun et quelles sont les voies qui permettent de sortir de la maladie. Vous accédez ainsi à des connaissances précieuses qui peuvent accompagner de manière déterminante votre propre parcours pour sortir de l’obésité. Les témoignages de patients et de personnes concernées ainsi que les connaissances des experts en obésité vous aideront à trouver votre propre voie pour sortir de la carrière fatale de l’obésité et à mener une vie plus saine et plus heureuse.

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Un foie sain favorise une vie saine

Dr. med. Jörg Zehetner
Professeur (USC) MMM, FACS, FEBS (hon.)

La stéatose hépatique, la stéatose hépatique non alcoolique, la cirrhose du foie, le cancer du foie, l’hépatite en tant qu’inflammation du foie et de nombreuses autres maladies du foie sont très répandues. Selon les estimations, la proportion de personnes atteintes d’une stéatose hépatique diagnostiquée dans les pays européens industrialisés développés est d’environ 20 pour cent, avec un certain nombre de cas non recensés, car les évolutions de la maladie qui se déroulent facilement et sans symptômes ne sont guère reconnues.

On distingue trois degrés de gravité de la stéatose hépatique, tout d’abord indépendamment du fait qu’il s’agisse d’une stéatose hépatique alcoolique ou non alcoolique.

  • Foie gras léger – Dans ce cas, moins d’un tiers des cellules du foie sont touchées par un excès de graisse.
  • Foie gras modéré – A ce stade, une proportion inférieure à deux tiers mais supérieure à un tiers du foie est déjà excessivement grasse.
  • Foie gras sévère – Dans ce degré de gravité de la stéatose hépatique, plus des deux tiers des cellules du foie sont déjà excessivement grasses.

L’obésité des cellules hépatiques résulte d’un stockage de graisse dans les cellules hépatiques, ce qui finit par altérer considérablement la fonction du foie en tant qu’organe important. Des maladies secondaires ou des maladies associées telles que le diabète ne sont pas exclues, mais sont souvent une complication due à la perturbation du métabolisme des graisses dans le foie.

La gravité de la stéatose hépatique peut être déterminée par l’examen d’un échantillon de tissu du foie. Il s’agit de prélever une minuscule partie de l’organe et de la soumettre à un examen de tissu fin. Des examens du taux de cholestérol ou des lipides sanguins fournissent également des informations précieuses.

Un foie sain favorise une vie saine
Un foie sain favorise une vie saine

Foie gras alcoolique ou non alcoolique ?

De nombreuses maladies du foie sont diagnostiquées comme étant étroitement liées à la consommation excessive d’alcool. Ceux qui connaissent un peu mieux la composition chimique de l’alcool savent qu’il s’agit d’une forme modifiée de sucre, c’est-à-dire d’hydrates de carbone. Un excès d’hydrates de carbone se dépose dans le corps sous forme de graisse et trouve notamment sa place dans le foie. En conséquence, de nombreux alcooliques chroniques sont touchés par des maladies du foie, voire des formes graves.

Mais aussi, et cela devrait être préoccupant, une grande proportion de maladies du foie non liées à l’alcool se répand dans la société. Ces manifestations de la stéatose hépatique sont principalement dues à de mauvaises habitudes alimentaires et de vie, qui se traduisent notamment par une alimentation trop riche en graisses et en sucres. Ce que le corps ne peut pas traiter, il le dépose non seulement dans les dépôts de graisse des couches inférieures de la peau, mais aussi dans le foie, ce qui conduit à la stéatose hépatique.

Que faire en cas de foie gras ?

Une fois qu’une stéatose hépatique alcoolique a été diagnostiquée, la seule solution est de suivre un régime strict.
et l’abandon systématique de l’alcool. Seul le renoncement radical aux boissons alcoolisées peut encore offrir une lueur d’espoir d’atténuer les effets de l’abus d’alcool sur la santé du foie.

En cas de stéatose hépatique non alcoolique, les chances de guérison sont relativement bonnes, selon le degré de gravité. Il est important de modifier systématiquement son alimentation et de pratiquer une activité physique. Ce changement peut être soutenu par ce que l’on appelle le jeûne hépatique, auquel nous nous consacrerons plus en détail dans une section séparée. En principe, il faut toujours éviter une cicatrisation du tissu hépatique, appelée cirrhose dans le jargon médical. Une cirrhose du foie n’est pas réparable et représente une modification structurelle dangereuse du tissu hépatique qui ne peut pas être inversée.

Une fois qu’une stéatose hépatique a été diagnostiquée, il est important de procéder à des changements réels, en fonction de la gravité, afin de stopper le processus de stéatose hépatique et, si possible, de l’inverser. Des mesures en demi-teinte sont relativement peu utiles. Aussi parce qu’une rechute dans d’anciennes habitudes de vie et d’alimentation entraînera toujours une détérioration progressive du foie.

Un traitement médicamenteux ou chirurgical de la stéatose hépatique n’est pas possible. En cas de foie gras, la seule solution est d’agir sur les causes, qui peuvent être une consommation excessive d’alcool, une mauvaise alimentation trop riche en graisses ou une combinaison des deux. Certaines formes rares de stéatose hépatique sont dues à des médicaments ou à d’autres épisodes, mais elles sont à négliger dans cet article.

Qui est concerné ?

Si l’on suit les statistiques, environ 20 pour cent de notre société sont touchés par une stéatose hépatique non alcoolique. L’âge des patients se situe entre 40 et 60 ans, les femmes étant un peu plus touchées par la stéatose hépatique que les hommes.

Il convient de noter que de nombreux patients souffrant de stéatose hépatique sont nettement en surpoids (obésité) ou souffrent déjà de diabète à différents niveaux. Des taux élevés de lipides sanguins sont aussi fréquents que l’apparition d’un syndrome métabolique.

Même si les causes réelles d’une stéatose hépatique n’ont pas encore été entièrement étudiées, on peut supposer qu’il existe fondamentalement un déséquilibre entre l’apport énergétique et la dépense énergétique. L’organisme reçoit donc, à long terme ou de manière permanente, nettement plus de calories qu’il n’en dépense réellement.

Même si la perception générale associe souvent la stéatose hépatique à l’abus d’alcool, la proportion de stéatoses hépatiques non alcooliques est nettement plus élevée que celle des maladies alcooliques du foie gras.

Le jeûne hépatique selon le Dr Worm – une bonne thérapie en cas de stéatose hépatique non alcoolique

Un jeûne hépatique selon le Dr Worm est un moyen éprouvé de lutter individuellement et avec succès contre une stéatose hépatique. Même en l’absence d’un diagnostic médical concret, mais surtout après le diagnostic d’une stéatose hépatique non alcoolique, le jeûne du foie selon le Dr Worm offre d’excellentes possibilités de dégraissage ciblé et sain du foie, sans pour autant solliciter l’organisme de manière excessive. Mais il faut aussi dire que toute forme d’alimentation diététique, donc aussi le jeûne hépatique selon le Dr Worm, ne fonctionne pas sans renoncement et sans volonté personnelle.

Voici comment fonctionne le jeûne hépatique selon le Dr Worm

Le Dr Nicolai Worm est l’un des nutritionnistes les plus connus de notre époque. Worm a développé le jeûne hépatique avec Hepafast en collaboration avec le docteur en médecine nutritionnelle Hardy Walle. Pourtant, un tel régime n’est pas une nouveauté, loin de là, mais repose sur l’expérience de plusieurs décennies de recherche, de science et de pratique.

La particularité de la cure Hepafast est qu’elle se base spécifiquement sur les exigences et les conditions physiques liées à la stéatose hépatique. Cela signifie que la cure de jeûne hépatique Hepafast, ciblée et limitée à quelques semaines, permet d’influencer de manière ciblée les taux de graisse du foie.

Si la cure de jeûne hépatique du Dr Worm est suivie correctement, le métabolisme des graisses est naturellement influencé, ce qui entraîne également une perte de poids générale dans la majorité des cas. Tant les taux de lipides sanguins que les taux de lipides hépatiques se rétablissent sensiblement, le succès du jeûne hépatique peut être observé et vécu par l’utilisateur lui-même. Contrairement à de nombreux autres régimes, il ne faut pas s’attendre à l’effet yoyo redouté, car le jeûne hépatique du Dr Worm n’est pas un régime de famine, mais s’accompagne de précieux ingrédients dans une boisson facile à préparer.

Bien entendu, le jeûne hépatique avec l’Hepafast n’a aucun sens si l’alimentation et le mode de vie en général ne sont pas modifiés en même temps. Cependant, comme Hepafast agit naturellement et rassasie, il n’est pas nécessaire de continuer à consommer des quantités excessives de nourriture, que ce soit en termes de ressenti ou de faits. Les personnes concernées se nourrissent donc plus raisonnablement et plus sainement, ne doivent pas s’affamer et complètent simplement leur alimentation avec Hepafast. Il en résulte une nette diminution des taux de graisse et donc une amélioration de la santé, qui se traduit également par une amélioration des performances au bout de quelques semaines seulement.

Quand le jeûne hépatique selon le Dr Worm est-il utile ?

En principe, le jeûne du foie selon le Dr Worm est toujours indiqué au plus tard lorsque les symptômes d’une stéatose hépatique sont constatés. Toutefois, la première phase de la stéatose hépatique n’est pas associée à des symptômes et passe donc généralement inaperçue.

C’est pourquoi il est bon de savoir que le jeûne hépatique du Dr Worm peut également être effectué de manière préventive, sans carences ni changements trop brusques des habitudes de vie. Pas à pas, les utilisateurs peuvent se familiariser avec le mode d’action du jeûne hépatique et sont ensuite eux-mêmes guidés vers un mode de vie et des habitudes alimentaires plus raisonnables.

Un jeûne hépatique selon le Dr Worm est particulièrement recommandé après la saison froide. En hiver, la plupart des gens font de toute façon un peu moins d’exercice, les repas copieux et gras font souvent partie du quotidien en hiver et la période de Noël et du printemps est le meilleur moment pour réactiver le corps. D’autant plus que le Carême battra alors son plein de toute façon. En outre, le jeûne hépatique selon le Dr Worm avec l’Hepafast peut être utilisé pratiquement tout au long de l’année.

Voici comment fonctionne le jeûne hépatique avec l’Hepafast

Nicolai Worm et le Dr. med. Hardy Walle ont élaboré une recette qui permet d’influencer positivement et de manière mesurable les taux de graisse hépatique. La composition spéciale et la facilité d’utilisation de la cure hépatique Hepafast contribuent à stimuler la combustion des graisses et à réduire avec succès le stockage des graisses dans les cellules hépatiques. Enfin, les composants de la cure Hepafast agissent également sur les graisses déjà stockées dans le foie et peuvent les éliminer efficacement.

La condition préalable à la réussite d’une cure de jeûne hépatique avec Hepafast reste un changement judicieux des habitudes de vie et d’alimentation… Hepafast n’est pas un remède miracle, mais un soutien nutritionnellement composé pour dégraisser le foie et améliorer globalement le comportement alimentaire. En conséquence, Hepafast n’est pas non plus un complément alimentaire, mais remplace une partie de l’alimentation par des composants actifs sur le foie lorsqu’il est utilisé conformément à sa destination.

Concrètement, cela peut se traduire par exemple par le remplacement du déjeuner ou d’un autre repas par un shake Hepafast préparé conformément à l’usage prévu. Il n’y a pas lieu de craindre une sensation de faim, car l’Hepafast est rassasiant et peut en même temps décomposer les molécules de graisse dans le corps. La crainte d’une alimentation déséquilibrée ou d’une malnutrition n’est pas non plus justifiée, car même en utilisant Hepafast, il est possible de prendre d’autres repas qui contiennent alors les substances dont le corps a besoin. Une cure hépatique Bodymed Hepafast n’est pas un régime qui mise à priori sur le renoncement, mais plutôt sur une influence ciblée sur la combustion des graisses dans le corps. Dans le cas idéal, Hepafast aide non seulement à brûler les cellules graisseuses, mais peut également favoriser la perte de poids. En outre, les effets du jeûne hépatique avec l’Hepafast stimulent les forces et l’énergie du corps, ce qui peut conduire à un meilleur bien-être et à une meilleure performance. Il est important de savoir que le jeûne hépatique selon le Dr Worm ne vise pas une perte de poids radicale ou importante, mais une fonction hépatique naturellement irréprochable.

Témoignages avec Bodymed Hepafast Jeûne hépatique selon le Dr Worm

Des années après la première introduction du jeûne hépatique selon le Dr Worm, il existe des milliers d’utilisateurs enthousiastes et couronnés de succès qui ont pu non seulement faire régresser le degré de stéatose hépatique, mais aussi agir de manière préventive contre une éventuelle stéatose hépatique. Et ce, avec relativement peu d’efforts et de renoncements, mais une forme d’alimentation saine pour le foie, qui est parfaitement soutenue par l’Hepafast.

Dans les cabinets de Swiss1Chirurgie, nous soutenons et recommandons également le jeûne hépatique, sachant que les personnes en surpoids, en particulier, souffrent souvent d’une stéatose hépatique non alcoolique, même si elles ne le ressentent pas toujours immédiatement. Une fonction hépatique saine participe de manière déterminante au bien-être. Inversement, une alimentation équilibrée, variée et saine favorise toujours la santé du foie. Le jeûne hépatique Hepafast du Dr Worm est un excellent moyen de soutenir ce processus.

Voici quelques réactions de personnes qui pratiquent régulièrement le jeûne hépatique selon le Dr Worm.

« En tant que joueur et entraîneur, j’accorde depuis des années une grande importance à mon alimentation.
J’ai essayé de nombreuses idées et projets différents afin de pouvoir discuter avec mes joueurs de l’optimisation des performances.

Il y a trois ans, sur recommandation, j’ai détoxifié mon foie pour la première fois de manière consciente.
J’étais impatient de voir ce que le corps allait faire de moi.
14 jours de discipline de fer. Shake protéiné, légumes, comptage des calories, telle était la routine qui m’accompagnait chaque jour.

Résultat : 5 kilos perdus, vitalité, motivation, rêves, forme d’esprit, gestion consciente de l’alimentation et plaisir réel.
Pas une seule fois je n’ai eu l’impression d’avoir faim. J’ai pu découvrir de nombreux menus intéressants et créatifs.
En bref, « ça en valait la peine ».

Je vous recommande vivement le jeûne hépatique en toute bonne conscience.
Conclusion : fais-toi plaisir en attendant la chance. »

Martin Andermatt, footballeur et entraîneur de légende


« Grâce au jeûne hépatique, j’ai vécu une expérience unique au début de chacune des dernières années.

Que ce soit lors d’une randonnée en raquettes dans l’arène Ottmar Hitzfeld Gspon ou dans mon bureau à domicile, que ce soit lors de l’événement CSI à Bâle ou des courses du Lauberhorn à Wengen, pendant 14 jours,
le jeûne hépatique a modifié ma conscience. Pendant 14 jours, le shake Bodymed au goût parfait m’a accompagné fidèlement et a fait de chaque jour un plaisir.

J’ai pu expérimenter des choses positives : Meilleur bien-être, sommeil plus profond, diminution de la fatigue, alimentation saine, perte de poids. Et le jeûne hépatique s’accompagne
d’autres effets secondaires bienvenus – on gagne un temps précieux, on ménage son porte-monnaie et on acquiert de nouvelles habitudes culinaires.

« Le jeûne hépatique est pour moi synonyme de santé avec 5 étoiles. »

Et qui sait, avec un peu de chance, ces rêves intenses deviendront réalité grâce au jeûne hépatique … « 

Fabian Furrer


« Je m’offre une à deux fois par an une cure de jeûne hépatique de l’Hepafast. Avec un IMC de 24, je ne fais pas cela pour réguler mon poids, mais parce que cela représente un bien-être pour mon corps. Je me sens nettement plus fraîche après la cure, ce que confirment également mes valeurs sanguines (cholestérol et valeurs hépatiques).
Mais le plus important pour moi, c’est qu’avec la cure Hepafast, je ne dois à aucun moment m’affamer ! Les shakes ont bon goût et donnent une bonne sensation de satiété. Les repas recommandés à cet effet sont faciles à préparer et apportent beaucoup de variété dans les menus. Et pour finir : Je suis souvent en déplacement, mais je peux facilement emporter les shakes et les snacks de légumes pour les préparer et les déguster « sur le pouce ». »

Markus Fuhrer


« Je suis très satisfait du jeûne hépatique selon le Dr Worm, Hepafast, qui m’a été prescrit par le Dr Jörg Zehetner. Mes valeurs de laboratoire, en particulier le cholestérol, sont maintenant toutes à un bon niveau et j’ai perdu 15 kg en un an, car mes habitudes alimentaires ont changé après le jeûne. Je vais répéter la cure chaque printemps pour rester en forme ».

Erika Fuhrer


On pourrait maintenant prolonger presque à l’infini la série d’expériences avec l’Hepafast et un jeûne hépatique selon le Dr Worm. Nous sommes toutefois d’avis que seul l’essai personnel avec les expériences très personnelles en matière de jeûne hépatique est vraiment utile et judicieux.

En conséquence, nous recommandons à Swiss1Chirurgie de faire ses propres expériences avec le jeûne hépatique selon le Dr Worm. « Car il n’y a de bien que si on le fait ! »

Vous obtiendrez volontiers des conseils professionnels et médicaux sur le jeûne hépatique selon le Dr Worm avec l’Hepafast dans tous les cabinets de Swiss1Chirurgie et dans les autres cabinets affiliés au sein de l’Helvetia Holding AG.

Conseil spécialisé sur le jeûne hépatique :

Savoir ce qui est – Les podcasts de Swiss1Chirurgie apportent des éclaircissements

Le besoin d’informations sur les questions médicales spécialisées est de plus en plus important. Les personnes concernées qui sont confrontées à des questions et des problèmes médicaux cherchent également sur Internet des réponses à leurs questions individuelles. Malheureusement, les informations en ligne issues des résultats des moteurs de recherche de Google et autres ne sont pas toujours pertinentes et, dans de nombreux cas, ne sont pas suffisamment fondées sur le plan technique. En conséquence, de nombreuses personnes se trouvent dans une zone grise entre l’autodiagnostic avec des informations pas toujours fiables et le besoin d’un diagnostic approfondi et surtout objectivement correct par les spécialistes concernés.

Les experts de Swiss1Chirurgie ont reconnu depuis longtemps le besoin d’informations complètes et surtout professionnelles et proposent sur les sites Internet de Swiss1Chirurgie, du Centre de chirurgie bariatrique ZFBC, du Cabinet de groupe de gastroentérologie GGP Berne et du Praxiszentrum Bern PZBE des possibilités d’information complètes sur des questions médicales spécialisées dans leurs domaines de prestations respectifs.

Dernier article :

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Swiss1Chirurgie Podcasts – Ecouter au lieu de lire

Les podcasts, proposés à l’initiative et sous le contrôle du contenu du Dr Jörg Zehetner, constituent une offre d’information encore relativement récente pour les profanes en médecine, mais aussi pour les collègues spécialistes.

Il existe ainsi une offre d’information professionnelle, également pour les personnes concernées, qui peuvent y obtenir un premier aperçu des diagnostics, des interventions médicales, des techniques opératoires et des soins postopératoires ainsi que des offres d’accompagnement.

Actuellement, des podcasts sont disponibles sur les thèmes suivants :

  • Connaissances médicales – Obésité (Chirurgie bariatrique complexe)
  • Connaissances médicales et conseils d’experts sur Radio Bern1
  • Swiss1Chirurgie informe les patients et les endocrinologues (opérations de l’obésité possibles à partir d’un IMC de 30 avec diabète)
  • Le ballon gastrique n’est qu’une « béquille » pour les patients en surpoids
  • Les hernies inguinales et les réseaux 3-D modernes
  • Hernies de la paroi abdominale, fermeture avec filet

D’autres podcasts sont en cours d’élaboration et élargissent constamment l’offre d’informations pour les patients mais aussi pour les médecins traitants.

Avec les podcasts, Swiss1Chirurgie, en tant que centre expert de l’obésité et centre des hernies, a créé une possibilité d’information élargie qui rend les connaissances disponibles et donne en même temps les recommandations appropriées.

Il est important de noter que les personnes concernées par un problème chirurgical peuvent également prendre contact directement et à tout moment avec les cabinets Swiss1Chirurgie de Berne, Brigue et Soleure. Il est ainsi possible de poser des diagnostics fondés sur des « cas suspects » individuels, ce qui permet un traitement professionnel ultérieur.

Vous trouverez les podcasts de Swiss1Chirurgie directement sur https://www.swiss1chirurgie.ch/podcast-uebersicht mais aussi sur

  • Spotify
  • Deezer
  • Apple Podcasts
  • Google Podcasts
  • amazon music et
  • Podimo

ou sur le lien :

  • adipositas-podcast.ch
  • hernien-podcast.ch

Les personnes ayant besoin d’informations sur les offres de prestations de Swiss1Chirurgie sont invitées à faire usage de l’offre gratuite de podcasts de Swiss1Chirurgie. Savoir ce qui est est toujours mieux que de deviner ce qui pourrait être.

Ventre de bière – Les hommes et la banalisation de l’obésité

Que ce soit sur un terrain de football ou dans un bar, les hommes ne cachent pas leur panse de buveur de bière, mais arborent fièrement leurs 10 à 15 kg de surpoids. Personne ne devrait s’en moquer, mais le sujet doit être abordé et discuté avec sensibilité. On passe volontiers sous silence la prétendue panse de bière, même chez le médecin, même chez le physiothérapeute ou pendant le sport.

« L’obésité chez les hommes ». Cela ne peut pas être simplement classé comme de la « gloutonnerie » ou de « l’oubli de soi ». L’obésité masculine a autant de causes que de manifestations. Il concerne en premier lieu les hommes à partir de l’âge moyen, qui se trouvent (comme les femmes) dans un type particulier de changement métabolique.

Enregistrement du 3.9.2021  » Saaserhof  » à Saas-Fee Surpoids : ventre de bière & haltères d’amour comme danger ? de Dr. med. J. Zehetner

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Pour en savoir plus sur les événements à venir & les enregistrements : https://www.helvetiusholding.ch/helvetius-life-streaming-2021/

Avec l’âge, le corps tend, pour des raisons de physiologie du développement, à stocker les réserves alimentaires en quelque sorte sous forme de réserves de graisse, afin d’anticiper d’éventuelles pénuries. En particulier chez les hommes qui, en raison de leur activité professionnelle ou d’une activité physique limitée, consomment moins de calories qu’ils n’en absorbent, cela conduit rapidement à un surpoids indésirable. Ce sont surtout les processus organiques qui jouent un rôle important et qui ne peuvent pas être « éliminés » aussi facilement.

Alors que l’on parle souvent de régime ainsi que de portions plus petites, le thème de l’alcool et de sa consommation est minimisé, ridiculisé et nié, surtout chez les hommes. Mais les aliments liquides comme la bière et le vin contiennent de nombreuses calories cachées que l’on n’aime pas compter. Les boissons énergétiques à la mode, les divers shakes et même les shakes protéinés (bien que sains) sont également des fournisseurs d’énergie et sont généralement riches en calories. Les jus de fruits et les smoothies, en particulier, sont facilement consommés à côté, sans penser à la quantité de sucre qu’ils contiennent.

L’obésité est désormais plus fréquente que la malnutrition dans le monde. Le véritable problème s’observe principalement dans les pays occidentaux industrialisés, car c’est justement là qu’il y a une surabondance de plus en plus grande de denrées alimentaires à tout moment. Aux États-Unis, par exemple, le taux d’obésité se situe autour de 35-40% de la population, ce qui n’est pas négligeable. Cela signifie un surpoids d’au moins 20 kilos, ou un IMC de 30 ou plus. C’est également le cas malgré les possibilités d’intervention chirurgicale, bien que ces méthodes soient désormais considérées comme très sûres et efficaces. Pourtant, le taux d’interventions chirurgicales nécessaires dans ce domaine particulier est beaucoup trop faible.

Le thème de la panse de bière – qui lance la discussion – ne se limite pas à informer la population et les spécialistes. Je considère plutôt qu’il est important d’informer sur les possibilités de traitement modernes des méthodes de traitement bariatriques jusqu’à la chirurgie. Il s’agit toujours en premier lieu d’aider les patients en fonction de leur situation initiale individuelle.

Informations sur l’obésité

Il faut comprendre que le surpoids est toujours lié à des maladies concomitantes. Diabète, hypertension, apnée du sommeil, taux de cholestérol trop élevé – tous ces problèmes se manifestent dans un contexte de surpoids. Mais il y a aussi un autre aspect qui s’est particulièrement développé ces dernières années. Il s’agit tout simplement de stigmatiser les personnes en surpoids. À l’école, dans la vie professionnelle et jusque dans leur vie privée, les personnes en surpoids sont décrites comme paresseuses, grosses, gourmandes, inattentives et sédentaires. Cela met encore plus à mal les personnes concernées et n’aide pas à aborder le problème de manière ciblée et consciente. Pourtant, depuis 2013 au plus tard, le surpoids significatif est défini comme une maladie. L’obésité pathologique s’ajoute ainsi à des maladies telles que le diabète, l’hypertension ou de nombreuses autres maladies chroniques.

La stigmatisation de l’obésité est extrêmement dangereuse pour les patients, qui se replient alors sur eux-mêmes et ne peuvent pas aborder leur véritable problème de manière ciblée et active. Pourtant, un traitement, des conseils et un accompagnement professionnels constituent le moyen le plus sûr de sortir de l’obésité.

Chacun est appelé à faire preuve d’un peu de retenue dans ses contacts avec des personnes souffrant d’obésité morbide, tant dans le choix des mots que dans le comportement. Même s’il ne s’agit « que » de la prétendue panse de bière.

Pourquoi spécifiquement les « hommes en surpoids » ?

Oui, les femmes aussi souffrent de l’obésité pathologique. Mais les hommes le font d’une manière particulière. Chez les femmes, il existe désormais des « curvy models », mais pas chez les hommes. Et les hommes ont déjà tendance, par nature, à manger des portions un peu plus grandes, même si cela semble diminuer progressivement. L’image du monde était et est toujours ainsi faite qu’un ventre est toujours inconsciemment associé à la prospérité. Même dans les sociétés industrielles modernes. Les dangers sont certes généralement conscients, mais ils ne sont réalisés que lorsqu’ils sont réellement là, visibles et parfois déjà perceptibles.

A cela s’ajoute le fait que les hommes, au plus tard à partir d’une certaine phase de leur vie, n’ont pas ce regard particulier sur leur apparence, comme c’est le cas de nombreuses femmes. Le véritable problème n’est pas reconnu, ou seulement très tard, et est alors volontiers accepté comme une donnée naturelle. Ainsi, le chemin vers le médecin n’est pas nécessaire et le chirurgien spécialisé dans l’obésité est une inconnue pour de nombreuses personnes concernées. C’est pourquoi les hommes en particulier doivent être sensibilisés à cette problématique et y faire face activement.

Ce qui commence par un ventre de bière qui n’est pas pris au sérieux se termine souvent par une catastrophe de surpoids, à moins que les bonnes démarches ne soient entreprises à temps, par exemple dans un cabinet de Swiss1Chirurgie.

Prochain événement :

Foie gras et diabète – les liens

Dr Michaela Neagu FMH gastroentérologie et médecine interne GGP Berne

Dans une conférence du cabinet de groupe de gastroentérologie GGP Bern AG (société de Helvetius Holding AG), la gastroentérologue Madame Dr. med. Michaela Neagu illustre les liens entre le foie gras et le diabète. Si l’on suit l’exposé, il est clair que le foie gras et le diabète forment un cercle vicieux dans lequel les deux maladies se déclenchent et s’alimentent mutuellement. Outre le diagnostic et les conséquences sur l’ensemble de la santé, l’exposé ouvre également une image claire de la manière dont l’évolution de la maladie peut être influencée avec succès et, dans le meilleur des cas, inversée. Nous avons mis à disposition l’exposé de Madame Dr Michaela Neagu sous forme de texte, mais aussi de vidéo et de présentation Powerpoint. Pour en savoir plus, cliquez ici.

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Maladie du foie gras et diabète sucré – y a-t-il un lien ?

Les experts d’Helvetius Holding SA apportent des éclaircissements

Lors d’une conférence organisée par GGP Bern AG, le Dr Michaela Neagu a présenté les liens entre la maladie du foie gras et le diabète sucré. Il ne s’agit pas tant d’un latin médical que d’une explication sur ce qu’est un foie gras, ce que cela signifie pour la vie des gens et s’il y a un lien avec le diabète sucré.

Le Dr Michaela Neagu est spécialiste en gastroentérologie (maladies gastro-intestinales) et en médecine interne générale au sein du cabinet de groupe de gastroentérologie de Berne, un partenaire d’Helvetius Holding SA. Elle dispose d’une vaste expérience et de compétences dans son domaine de spécialité.

Dans son exposé, le Dr Michaela Neagu met en lumière les liens évidents entre le foie gras et le diabète sucré.

La maladie du foie gras

En principe, on distingue la stéatose hépatique alcoolique et la stéatose hépatique non alcoolique (métabolique). Comme l’indiquent les différentes dénominations, l’une des maladies du foie gras est liée à une consommation excessive d’alcool, tandis que l’autre forme de maladie du foie gras n’a rien à voir avec la consommation d’alcool. A cela s’ajoutent des manifestations telles que les maladies virales du foie, les maladies auto-immunes, les troubles du stockage du fer et d’autres conditions qui favorisent ou rendent possible une maladie du foie gras.

Au niveau mondial, environ 25 pour cent de la population est touchée par une maladie du foie gras. La stéatose hépatique est donc la maladie du foie la plus fréquente. Chez les diabétiques eux-mêmes, environ 30 à 40 pour cent des personnes concernées présentent une stéatose hépatique. De même, environ la moitié des patients souffrant de troubles graves du métabolisme des lipides souffrent d’une maladie du foie gras.

Comment se développe une stéatose hépatique ?

Un foie gras apparaît lorsque la capacité des cellules hépatiques à absorber les graisses est dépassée. De ce fait, de la graisse se dépose dans le foie lui-même, qui ne peut plus être éliminée par le foie. L’accumulation de graisse dans les cellules hépatiques provoque une inflammation de ces cellules, puis l’émission de messagers qui inhibent l’apport d’insuline au foie. Finalement, une sorte de résistance à l’insuline s’installe, de sorte que l’insuline ne peut pas agir dans le corps comme la nature l’a prévu.

Par la suite, une hyperglycémie se produit dans le corps. Cela envoie un stimulus qui fait que l’on produit encore plus d’insuline. L’augmentation du taux d’insuline entraîne ensuite une augmentation de l’absorption, de la synthèse et du stockage des graisses. Il en résulte un cercle d’action qui dépose de plus en plus de graisse dans le foie mais qui, de manière générale, pousse le stockage des graisses dans le corps bien au-delà de la normale.

Que remarquent les personnes concernées par une stéatose hépatique ?

Il est décevant de constater qu’environ la moitié des personnes concernées ne présentent pratiquement aucun symptôme et ne se préoccupent donc pas de la santé de leur foie. D’un côté, cela peut sembler rassurant, mais d’un autre côté, c’est déjà un signal d’alarme qui indique que les interventions thérapeutiques efficaces n’interviennent que tardivement, généralement très tard.

Certains patients ressentent une fatigue générale mais plutôt non spécifique. Une certaine lassitude et peut-être une fois de légères douleurs indifférenciées dans la partie supérieure de l’abdomen indiquent qu’il pourrait s’agir d’une affection sérieuse. Cependant, la plupart du temps, les patients eux-mêmes ne prennent pas cela au sérieux.

De ce fait, la stéatose hépatique reste dans la plupart des cas une découverte fortuite qui ne se révèle que dans le cadre du traitement d’autres maladies. Il peut s’agir par exemple de valeurs hépatiques élevées dans le cadre d’un bilan de santé ou de modifications visibles du foie lors d’une échographie standard.

De manière générale, une stéatose hépatique non traitée risque d’évoluer vers une cirrhose du foie. C’est au plus tard à ce moment-là que les personnes concernées se rendent compte que leur foie est malade. Les signes typiques sont alors le grand ventre d’eau bien connu, certains circuits de contournement dans l’organisme et d’autres signes apparaissent toutefois très tard. En pratique, le tableau clinique de la stéatose hépatique peut aller de l’absence de symptômes à une évolution grave et dangereuse de la maladie.

Entre 50 et 90 pour cent des personnes atteintes de stéatose hépatique sont obèses, c’est-à-dire en nette surcharge pondérale. Les signes d’un syndrome métabolique sont reconnaissables.

Comment peut-on diagnostiquer avec certitude une stéatose hépatique ?

Il y a quelques années encore, la biopsie était le moyen de choix pour déterminer plus précisément l’état des cellules hépatiques. Pour ce faire, une aiguille est plantée directement dans l’organe et un petit échantillon de tissu est prélevé. Cet échantillon de tissu peut ensuite être analysé plus en détail pour déterminer si les cellules du foie sont obèses.

Grâce aux progrès de la technique médicale, nous pouvons aujourd’hui diagnostiquer une stéatose hépatique dans 90% des cas, même sans biopsie. Grâce à différentes méthodes d’imagerie telles que les ultrasons ou la tomographie assistée par ordinateur, il est aujourd’hui possible de procéder à des examens absolument indolores, sans intervention sur le corps. Grâce à l’excellente représentation, la teneur en graisse du foie peut être déterminée avec des valeurs fiables.

L’évaluation des examens par ultrasons se base par exemple sur une comparaison des tissus hépatiques et rénaux. Si les deux organes sont sains, ils présentent à peu près la même structure et la même couleur sur l’image. Si le tissu rénal est plus foncé que celui du foie, les parties plus claires du foie indiquent des dépôts de graisse. Ainsi, un foie gras peut déjà être détecté avec une assez grande certitude.

Si les spécialistes décident tout de même d’effectuer un prélèvement de tissu, généralement pour exclure ou détecter d’autres maladies du foie, les différences deviennent encore plus évidentes. Un foie sain est composé de cellules bien agencées et clairement différenciées. Dans le cas de la stéatose hépatique, la perturbation de l’architecture cellulaire due à l’accumulation de graisses est clairement visible. C’est encore plus évident en cas de stéatose hépatique prononcée avec des cellules enflammées.

Quel est le chemin vers le foie gras

Il faut toujours un certain temps et certaines circonstances pour passer d’un foie sain à un foie gras. Divers facteurs défavorables provoquent l’accumulation de graisses dans les cellules hépatiques, qui peuvent ensuite continuer à provoquer des inflammations dans le foie lui-même. Ce n’est pas nécessairement le cas, mais cela peut l’être. Toutefois, lorsqu’une telle inflammation se produit, un certain remaniement du tissu conjonctif se poursuit, ce qui peut conduire, en l’absence de traitement, à une cicatrisation complète du foie. Le stade de la cirrhose du foie est alors déjà atteint. La cirrhose du foie, quant à elle, est un facteur favorisant le développement du cancer du foie. C’est le cas d’environ deux pour cent des personnes concernées. Mais même lorsqu’aucune cirrhose n’a encore été diagnostiquée, de plus en plus de cas de cancers du foie liés à une stéatose hépatique sont recensés. Et aux États-Unis, la stéatose hépatique est aujourd’hui considérée comme le motif le plus fréquent de transplantation hépatique.

Un regard sur le diabète sucré

Habituellement, nous parlons ici du diabète. Elle est diagnostiquée lorsque l’on constate un excès chronique de sucre dans le sang. Le corps est en quelque sorte hyperglycémique. Les facteurs d’action pour l’apparition de taux de glycémie élevés sont la diminution de l’effet de l’insuline et, au cours de l’évolution, souvent une carence en insuline.

Actuellement, environ six pour cent de la population mondiale, y compris les enfants, sont touchés par le diabète. Chez les enfants, on observe le plus souvent un diabète de type 1. Mais avec l’augmentation de l’obésité pathologique chez les enfants, le type 2 se manifeste de plus en plus. Le diabète peut être diagnostiqué de manière très sûre et simple à l’aide de différents tests.

Que signifie le diabète sucré pour la vie des gens ?

La présence d’un diabète sucré est liée à des risques et des conséquences effectivement graves pour la santé et la vie des personnes concernées. Les dommages causés aux petits vaisseaux constituent une problématique. Cela concerne surtout les reins, la rétine de l’œil et le système nerveux. La gamme s’étend de problèmes rénaux relativement légers à l’insuffisance rénale complète nécessitant une dialyse. Dans le cas des maladies de la rétine, de tels troubles peuvent conduire à la cécité en raison du diabète sucré. En ce qui concerne les lésions du système nerveux, elles entraînent la perte de certaines sensations, ce qui peut se traduire par exemple par le fait que les patients ne sentent plus le sol sous leurs pieds. On observe également des problèmes de coordination et de changement de position dans l’espace. Des troubles gastro-intestinaux avec diarrhée et autres symptômes sont également signalés. Des troubles du rythme cardiaque peuvent compléter le tableau.

Outre les lésions des petits vaisseaux, les lésions des gros vaisseaux sont également une conséquence du diabète sucré. Les maladies coronariennes méritent ici une mention particulière. Dans ce cas au moins, le risque des patients diabétiques est nettement plus élevé que celui de la population normale. Pour les diabétiques, ce risque peut être évalué comme étant environ deux fois plus élevé. Pas moins de 75% des diabétiques meurent d’un événement cardiovasculaire.

Le risque de subir un accident vasculaire cérébral est également environ 2,5 fois plus élevé que dans le groupe de comparaison des personnes non diabétiques. Un trouble de la circulation sanguine, surtout dans les jambes, est évalué à un risque 4,5 fois plus élevé que dans le groupe de comparaison. Le pied diabétique, qui résulte précisément de ces troubles de la circulation sanguine et peut aller jusqu’à la nécessité d’une amputation, est bien connu.

Le diabète sucré augmente également le risque d’infection pour pratiquement toutes les maladies infectieuses.

La relation entre le foie gras et le diabète sucré

La particularité de la relation entre les maladies du foie gras et le diabète sucré réside dans le fait que les deux maladies peuvent se déclencher mutuellement et réciproquement, mais aussi être la conséquence de l’autre maladie. En d’autres termes, les patients atteints de stéatose hépatique sont ou deviennent souvent diabétiques et les diabétiques souffrent souvent d’une stéatose hépatique. Il existe donc un lien de cause à effet entre le foie gras et le diabète.

Imaginons un parcours possible : Une personne, au départ en parfaite santé physique et normale, commence à prendre du poids pour différentes raisons. Le tissu adipeux augmente et, à un moment donné, la capacité de stockage des graisses est épuisée. Cela entraîne alors une véritable inondation de l’ensemble de l’organisme par les acides gras libres. À un moment donné, l’organisme devient résistant à l’action de l’insuline et une hyperglycémie se produit. La question qui se pose maintenant est : que faire du sucre ?

Une partie des acides gras libres se dépose dans les cellules du foie et y provoque la stéatose hépatique déjà décrite. Les capacités du foie à assurer un métabolisme sain des graisses sont ainsi considérablement réduites. En outre, il en résulte une insulino-résistance de plus en plus prononcée, dont l’interaction se répercute à son tour sur la glycémie et conduit finalement au diabète de type 2. D’autres effets sont toujours inclus, comme par exemple l’hypertension, les troubles du fonctionnement du pancréas, etc.

La condition réciproque du foie gras et du diabète crée un cercle vicieux qu’il est difficile de briser et qui ne peut être rompu qu’avec une méthodologie radicale.

Que peut-on faire ?

Au moins jusqu’à un indice de masse corporelle IMC de 30, au maximum 35, il est encore possible d’agir et il convient de le faire activement. Il est intéressant de noter que la stéatose hépatique est réversible, c’est-à-dire qu’elle peut aussi régresser. Même si une inflammation du foie s’est déjà déclarée, le processus peut encore être inversé. Il est essentiel d’agir assez rapidement. Si une cirrhose du foie s’est déjà déclarée, il est pratiquement impossible de l’arrêter. Cependant, même dans ce cas, il convient d’adapter systématiquement son mode de vie et de procéder à des contrôles réguliers afin d’éviter d’autres lésions hépatiques.

Le retour à un foie sain passe toujours par une réduction du poids corporel et une diminution correspondante de l’excès de graisse dans l’organisme. Une réduction de cinq pour cent seulement du poids corporel entraîne un dégraissage significatif du foie.

Une perte de poids de sept à dix pour cent permet également de faire régresser les processus inflammatoires dans le foie ou un début de cicatrisation du tissu hépatique. Ce sont des faits qui donnent du courage et qui ont été suffisamment testés et étudiés.

Plusieurs facteurs sont déterminants pour la perte de poids. Cela commence par une réduction significative de l’apport calorique, passe par une activité physique saine et régulière. Il convient de prévoir une période d’au moins huit semaines, mais généralement beaucoup plus. Une consultation et un suivi aussi étroits que possible par des spécialistes sont vivement conseillés, car d’autres facteurs de risque doivent également être observés et exclus. Cela concerne surtout les risques cardiovasculaires.

Il faut absolument éviter les aliments toxiques comme l’alcool, les boissons à forte teneur en fructose et la nicotine.

Vous pouvez visionner l’intégralité de l’exposé du Dr Michaela Neagu, avec de nombreuses informations supplémentaires intéressantes et d’autres questions et réponses, en vidéo ici.

Une présentation Powerpoint sur le sujet illustre et complète l’exposé.

Dr. med. Hardy Walle lors du 4ème congrès spécialisé d’Helvetius Holding AG

Le 22 octobre 2021, le thème de la santé du foie était au centre du 4e colloque d’Helvetius Holding SA au Talent-Campus Bodensee à Kreuzlingen. Tous les intervenants étaient d’accord pour dire que le foie gras est une cause majeure de nombreuses maladies de civilisation dans la société moderne. Quoi de plus naturel que d’inviter le cofondateur du jeûne hépatique avec HEPAFAST® à la manifestation. Dans son exposé impressionnant et scientifiquement étayé, le Dr. med. Hardy Walle, médecin nutritionniste et interniste, a non seulement établi le lien entre la stéatose hépatique non alcoolique et le diabète, mais a également prouvé l’efficacité inégalée du concept BODYMED HEPAFAST® pour le jeûne hépatique. Dans le rapport détaillé, vous apprendrez beaucoup de choses sur le sujet et obtiendrez de plus amples informations sur le jeûne hépatique avec HEPAFAST®.


Conférence :


Interview:


Jeûne hépatique avec HEPAFAST® – La voie efficace vers la santé du foie

Un foie sain a un impact considérable sur l’état de santé de l’être humain et a un effet durable sur de nombreuses fonctions, en particulier sur le métabolisme. Avec le Dr. med. Hardy Walle, c’est un invité très spécial qui s’est présenté à la 4ème conférence spécialisée d’Helvetius Holding AG au Talent Campus Bodensee à Kreuzlingen.

Le Dr. med. Hardy Walle est connu, avec le professeur Nicolai Worm, comme le fondateur du jeûne hépatique avec HEPAFAST®. Le système spécialement développé par les deux médecins nutritionnistes a un effet positif prouvé sur la santé du foie et offre d’excellentes possibilités pour le maintenir en bonne santé. Même après de graves troubles hépatiques, mais aussi utilisé à titre préventif, le jeûne hépatique du Dr Walle permet au foie de fonctionner pleinement et contribue ainsi de manière décisive à un mode de vie sain. Dans sa conférence, l’interniste et médecin nutritionniste, fondateur de BODYMED AG, présentera le jeûne hépatique avec tous ses effets sur le dégraissage du foie et ses interactions avec une vie saine.

Pourquoi le jeûne hépatique et qu’est-ce qu’il a de particulier ?

Le point central de la réflexion est ici les différences entre le jeûne hépatique et les autres programmes diététiques. Le point de départ est constitué par les données relatives à l’évolution du surpoids et à la propagation de l’obésité en Allemagne. Il en ressort que l’obésité avec un IMC supérieur à 25 s’est nettement répandue au cours des 20 dernières années environ. En Allemagne, on estime actuellement que plus de la moitié de la population totale est en obésité. On peut donc logiquement en conclure que l’obésité est désormais considérée comme la norme. Pourtant, c’est près d’un quart de la population qui peut être considéré comme obèse avec un IMC supérieur à 30. Lorsque nous parlons d’obésité, nous faisons clairement référence à une obésité. Cela permet également de comprendre que, dans le cas de l’obésité, nous considérons essentiellement le rapport entre la graisse et le poids total. Il s’agit notamment de la répartition de la graisse corporelle, c’est-à-dire de l’emplacement de la graisse sur le corps.

Il est également intéressant de noter, dans le cadre de l’évaluation de l’obésité, que la proportion de personnes atteintes de diabète de type 2 augmente quasiment au même rythme que l’augmentation du nombre de personnes en obésité. Il est intéressant de noter que le diabète sucré de type 2 n’a rien à voir avec l’âge des personnes, contrairement à ce que l’on pensait autrefois. Les personnes de tous âges peuvent être touchées par le diabète de type 2, l’obésité jouant notamment un rôle déterminant. Même chez les jeunes. Il existe donc une corrélation claire entre l’obésité et les maladies secondaires.

Il est d’autant plus étonnant que l’on communique toujours sur le fait qu’un léger surpoids n’est pas si grave et que certains journalistes spécialisés estiment que « les personnes présentant un surpoids léger à moyen vivent le plus longtemps et développent le moins de maladies … » Ce qui est souvent sous-entendu, c’est que le lien entre l’IMC et la mortalité n’est pas si significatif.

En conséquence, il existe une étude dans laquelle, parmi les patients à haut risque, ce n’est pas l’IMC mais la forme corporelle, et plus particulièrement le tour de taille, qui a servi de critère d’évaluation. Étonnamment, dans le groupe test d’environ 15 000 personnes, le groupe qui présentait un IMC de 22 seulement s’est avéré être plus mortel en l’espace de cinq ans. Cependant, un examen plus approfondi a montré que ce groupe présentait exactement le même tour de taille que le groupe de sujets obèses avec un IMC de 30. Le tour de taille était de 101 centimètres dans les deux cas. Cependant, alors que le sujet IMC 22 n’avait qu’un ventre, le sujet IMC 30 avait en plus beaucoup de graisse répartie sur son corps.

Les sujets présentant le taux de mortalité le plus élevé étaient assez minces, sauf au niveau de l’abdomen, et ne présentaient pratiquement pas de muscle. Cela explique aussi le poids relativement faible malgré un tour de taille de 101. Si l’on sait que les muscles ont également un facteur de protection, l’augmentation de la mortalité dans ce groupe de comparaison peut également s’expliquer par l’absence de fonction protectrice des muscles. Si l’on suit cette idée, il est clair que le rapport entre la masse musculaire et la masse graisseuse a une grande importance.

Cela signifie bien sûr aussi, à l’inverse, que l’IMC ne permet pas à lui seul de déterminer comment sont répartis les pourcentages de muscles et de graisse. La seule vision de l’IMC déforme donc la réalité, même si elle peut fournir des premiers signaux. Le facteur décisif n’est donc pas le seul IMC. Cela dépend tout à fait du tour de taille. Pourtant, si la plupart des gens connaissent peut-être à peu près leur poids, rares sont ceux qui peuvent chiffrer assez clairement leur tour de taille. Or, un tour de taille élevé (plus de 88 cm pour les femmes et plus de 102 cm pour les hommes) est un facteur de risque évident, par exemple pour les infarctus du myocarde. Ici, le risque est multiplié par 4,5.

Alors qu’il existe des comprimés contre l’hypertension, on ne peut influencer le tour de taille que par sa propre activité. Et c’est précisément là qu’intervient le jeûne hépatique. Il ne s’agit pas d’une réduction de poids unilatérale, mais clairement d’une réduction du ventre. En conclusion, cela signifie éliminer la graisse du ventre. Mais pas seulement la graisse autour des organes, mais surtout la graisse dans les organes. Il s’agit du foie, du pancréas, des reins et, plus largement, du cœur et de la structure osseuse.

La graisse abdominale est la graisse dangereuse

Il doit être clair que le foie, par exemple, n’est pas fait pour stocker les graisses. Pour cela, il y a plutôt le tissu adipeux sous-cutané. La graisse abdominale présente des risques potentiels évidents. Ceux-ci se révèlent être des facteurs de risque pour

  • Diabète de type 2
  • Hypertension artérielle
  • Infarctus du myocarde
  • Attaque cérébrale
  • Troubles de l’impuissance
  • Troubles de la circulation sanguine
  • Démence

Tout cela peut être la conséquence d’un excès de graisse abdominale. En principe, c’est là qu’intervient la chirurgie bariatrique, qui peut tout à fait assurer un dégraissage rapide du foie par une opération de surcharge pondérale.

Un chercheur allemand renommé pousse l’affirmation de base à son paroxysme : « Sans foie gras, il n’y a pas de diabète ». (Professeur Norbert Stefan, Tübingen)

Dans la plupart des cas, c’est la stéatose hépatique qui est le déclencheur et la cause de nombreuses maladies secondaires. Il est important de le savoir, car c’est la seule façon de déterminer clairement la cause, le symptôme et l’effet, ce qui a finalement des conséquences claires sur la thérapie appropriée.

La stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) peut être considérée comme la cause de nombreuses manifestations de processus pathologiques. Ainsi pour les inflammations dues aux radicaux libres, pour la goutte due à l’augmentation de l’acide urique, pour l’augmentation du taux de glycémie, pour les troubles du métabolisme des lipides, pour l’hypertension ou pour la thrombose et finalement pour le syndrome métabolique. Le cancer du foie n’est pas à négliger ici et il explose, notamment aux États-Unis où la proportion de personnes obèses est importante.

En général, 30 à 40 pour cent de la population totale en Allemagne est touchée par une stéatose hépatique. Dans le groupe des personnes en surpoids, cette proportion atteint déjà 70 pour cent. Si l’on ne prend en compte que les diabétiques de type 2, on constate que près de 90% des personnes concernées sont « équipées » d’un foie gras. Les liens entre le foie gras, l’obésité et le diabète en ressortent encore plus clairement. La stéatose hépatique non alcoolique est donc l’une des maladies du foie les plus fréquentes. Mais même 15 pour cent des personnes extérieurement minces sont touchées par une stéatose hépatique.

Comment diagnostiquer une stéatose hépatique non alcoolique ?

En principe, la stéatose hépatique non alcoolique est une stéatose hépatique qui n’est pas due à l’alcool ou à d’autres causes. Dans les pays industrialisés, elle est considérée comme la maladie du foie la plus fréquemment diagnostiquée. De même qu’il n’est pas possible de constater des symptômes typiques, de simples résultats de laboratoire n’offrent guère de base probante à eux seuls.

On parle alors de stéatose hépatique non alcoolique lorsque plus de 5,5 à 6 pour cent des cellules du foie sont obèses. Cette proportion ne peut pas être détectée par la seule échographie. Ici, on ne voit rien qu’à partir d’une adiposité d’environ 20 %. Le diagnostic le plus précis peut être établi par une biopsie du foie, mais il est peu probable qu’il s’agisse de la première étape du diagnostic.

Une valeur s’est établie en Europe. Nous parlons ici de l’indice de stéatose hépatique (FLI). Il en résulte une valeur numérique algorithmique validée, qui convient également bien au suivi de l’évolution. Le FLI permet de diagnostiquer assez facilement et avec certitude une stéatose hépatique.

Les statistiques montrent que la mortalité est significativement plus élevée chez les patients atteints de stéatose hépatique. Le foie gras n’est donc pas un problème cosmétique ou ne se caractérise pas uniquement par des taux élevés de lipides sanguins, etc., mais il constitue un véritable facteur de risque élevé en termes d’espérance de vie et de mortalité.

Principales causes de l’apparition d’une stéatose hépatique

Auparavant, on résumait simplement les causes de la stéatose hépatique en disant que les gens mangeaient trop de graisses. Mais la véritable cause est un excès de glucides ingérés. Une autre cause peut être l’absorption de beaucoup de fructose, c’est-à-dire de fructose. On y trouve même le principal graisseur du foie.

Les glucides sont décomposés en sucre dans le corps. Dans le même temps, le pancréas produit de l’insuline. L’insuline a toutefois deux effets : D’une part, l’insuline permet au sucre de pénétrer dans les muscles, d’autre part, une partie du sucre passe dans le foie pour y réguler le taux de glucose sanguin. Si le foie libère trop de sucre, l’insuline freine cette sécrétion. En outre, l’insuline veille à ce que le sucre excédentaire soit stocké dans le tissu adipeux.

Dans certaines conditions, les organes commencent à ne plus réagir de manière adéquate à l’insuline. Il en résulte une sorte de résistance à l’insuline. Dans ce cas, le foie n’est plus non plus correctement régulé par l’insuline. Au cours de l’évolution prédiabétique, le taux de glycémie augmente ensuite, même chez les sujets à jeun. Un tel processus se développe lentement, de sorte que dans certains cas, le diabète n’apparaît qu’après dix à douze ans. Ce processus peut même s’étendre jusqu’à 20 ans. Pendant cette période, le foie est de moins en moins régulé par l’insuline et devient de plus en plus gras. Ce processus s’accélère lorsque le tissu adipeux sous-cutané ne peut plus former d’autres cellules graisseuses, car il est littéralement submergé par la graisse. De plus en plus de graisses et de sucres se déplacent dans le sang. Par réaction naturelle, l’organisme constitue alors des réserves de graisse supplémentaires dans le foie.

Mais à long terme, ce n’est pas seulement le foie qui devient gras, mais aussi le pancréas, les reins, les muscles, le cœur et même l’hypothalamus dans le cerveau.

Les bases du jeûne hépatique

L’idée de base du jeûne hépatique est tout simplement de revenir en arrière par rapport à la voie plutôt malsaine empruntée jusqu’à présent. L’étape la plus importante de ce processus est le dégraissage du foie. Pour cela, il faut généralement suivre un régime alimentaire strict.

Cela signifie que:

  • moins de 1’000 kcal par jour
  • peu d’hydrates de carbone
  • absorption de protéines de haute qualité
  • si possible, uniquement de « bonnes » graisses
  • substances actives et fibres alimentaires spéciales pour le foie

Tout cela est réuni dans HEPAFAST® dans une formule bien tolérée et facile à utiliser. Le programme est facile à mettre en œuvre au quotidien. Il est très digeste, rassasie et répond à toutes les exigences d’une bonne alimentation saine pour le foie.

Prendre trois fois par jour HEPAFAST® préparé avec un produit laitier. A cela s’ajoutent deux fois par jour des préparations de légumes pour un total de 200 kcal maximum par jour. Cela signifie une préparation HEPAFAST® au petit-déjeuner, une préparation HEPAFAST® et une préparation de légumes à midi et une autre préparation HEPAFAST® et une préparation de légumes le soir. Pas plus, mais pas moins non plus.

Grâce à cette facilité d’utilisation, le programme de dégraissage du foie HEPAFAST® ne connaît que peu d’abandons, ce qui augmente considérablement le taux de réussite.

La réinitialisation du métabolisme provoque:

  • Normalisation de la fonction du pancréas et de la sensibilité à l’insuline du foie
  • Favoriser la sécrétion d’insuline
  • Normalisation de la régulation du glucagon
  • diminue la libération incontrôlée de glucose du foie dans le sang
  • améliore le métabolisme et facilite la perte de poids

Pour qui le jeûne hépatique est-il utile ?

En principe, le jeûne hépatique avec HEPAFAST® est utile pour tous les patients présentant la constellation suivante :

  • Foie gras (NAFDL, NASH)
  • syndrome métabolique
  • Diabète de type 2
  • Surpoids et obésité
  • Troubles du métabolisme des lipides
  • Hypertension artérielle
  • à titre préventif, comme « cure métabolique » pour éviter les maladies
  • avant une opération bariatrique

Dans ce contexte, il ne sert à rien d’attendre d’avoir un IMC de 30 ou un tour de taille nettement supérieur à 100 centimètres. Il est toujours possible d’entamer un jeûne hépatique avec HEPAFAST® même en l’absence de tels symptômes.

Informations complémentaires

Vous pouvez voir l’intégralité du streaming vidéo en direct avec le Dr. med. Hardy Walle, avec des résultats de recherche supplémentaires, des statistiques et un exemple de cas concret ici.

En outre, vous trouverez également ici d’autres articles issus des conférences spécialisées d’Helvetius Holding SA.

Éructations, surpoids et diabète – reconnaître les relations de cause à effet

Seules les personnes qui reconnaissent le lien entre le reflux, l’obésité et le diabète peuvent trouver la bonne approche thérapeutique. C’est ce qui ressort de la conférence spécialisée du Dr Med. Jörg Zehetner, professeur (USC), dont vous pouvez lire l’article complet ici.

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Martin Andermatt et son expérience du jeûne hépatique

Lorsque Martin Andermatt parle de ses expériences de jeûne hépatique, la légende du football et l’entraîneur du FC Schaffhouse parlent avant tout d’expériences avec eux-mêmes. Le cœur de ses représentations est que les choses ne changent que si l’on se change soi-même. Cela vaut aussi bien pour le sport actif que pour le maintien de la santé de son propre corps. Cette expérience, le célèbre Suisse la transmet également lors de la 4e conférence spécialisée d’Helvetius Holding AG au Talent-Campus Bodensee à Kreuzlingen. Lisez le rapport ici et découvrez où vous pouvez regarder le streaming en direct.

Un témoignage sur le jeûne hépatique avec HEPAFAST® de Martin Andermatt

A l’occasion de la 4e conférence spécialisée d’Helvetius Holding AG au Talent-Campus Bodensee Kreuzlingen, le Dr méd. Jörg Zehetner, professeur (USC), et le Dr méd. Hardy Walle se sont exprimés sur le thème de la santé du foie et du foie gras. Le point culminant de la soirée a sans aucun doute été la conférence du Dr. med. Hardy Walle qui, grâce aux approches scientifiques les plus récentes, a non seulement éclairé la stéatose hépatique non alcoolique d’un point de vue légèrement différent, mais a également pu présenter un concept efficace de jeûne hépatique avec HEPAFAST®.

Par la suite, la légende du football Martin Andermatt a fait part de sa propre expérience du jeûne hépatique avec HEPAFAST®. En tant que footballeur professionnel à succès et aujourd’hui entraîneur du FC Schaffhouse, Martin Andermatt connaît très bien l’importance d’une santé stable et les effets d’un foie sain sur l’ensemble de l’organisme.

En tant qu’entraîneur de football, Martin Andermatt aime parler de ses propres expériences pratiques. Avec son expérience propre, Martin Andermatt a été le premier entraîneur suisse d’une équipe de Bundesliga allemande et connaît également le fonctionnement de la ligue allemande du point de vue d’un membre du conseil de surveillance du club de Hanovre 96.

En tant que joueur actif, Martin Andermatt s’est toujours intéressé à la manière de concevoir une alimentation saine et équilibrée. Avec l’âge, la question de la suite à donner à sa vie après le football actif est devenue centrale. L’intérêt s’est surtout porté sur les conséquences physiques et psychiques d’un entraînement moins intensif et de la perte d’un niveau d’activité physique auquel on était habitué jusqu’à présent.

En tant qu’entraîneur, Martin Andermatt estime qu’il est de sa responsabilité de transmettre aux joueurs en herbe et aux adultes des informations qui soient correctes et étayées. Les suppositions, les on-dit et les prétendues connaissances ne sont pas des arguments vraiment solides. C’est pourquoi Martin Andermatt sait très bien que seule sa propre expérience est une bonne base pour transmettre son savoir. Il considère également cette approche fondamentale comme importante lorsqu’il présente un rapport d’expérience tout à fait personnel sur le jeûne hépatique avec HEPAFAST® lors du 4e congrès professionnel de la Helvetius Holding AG.

Même si Martin Andermatt, qui n’est pas médecin, ne maîtrise pas les formules pour la santé du foie, il a pu suivre chaque étape des présentations du Dr Jörg Zehetner, professeur(USC), et du Dr Hardy Walle, fondateur de BODYMED et co-développeur du jeûne hépatique avec HEPAFAST®. Surtout à partir de sa propre expérience.

Ce qui compte vraiment, c’est l’expérience personnelle

Grâce à son expérience du jeûne hépatique, Martin Andermatt sait qu’il ne s’agit pas simplement d’un régime rapide à court terme. Il est toujours important de considérer l’évolution. Martin Andermatt le voit aussi bien dans son engagement sportif que dans son attitude personnelle vis-à-vis de la santé. Toutefois, même dans ce cas, les mots magnifiques et sonores ont toujours moins de valeur que l’expérience personnelle. Et c’est exactement ce que Martin Andermatt nous raconte de sa propre expérience du jeûne hépatique avec HEPAFAST®.

Sa première constatation concerne le monde des rêves. Il rapporte ainsi que pendant les périodes de jeûne hépatique, il rêvait beaucoup plus intensément que d’habitude. En outre, il s’est senti extrêmement vital et performant à chaque phase du jeûne hépatique.

Avec 60 ans d’expérience, Martin Andermatt se sent encore très bien aujourd’hui et sait qu’il a déjà essayé beaucoup de choses pour rester en bonne santé. Qu’il s’agisse de cures de jus ou de programmes diététiques les plus divers. Martin Andermatt sait de quoi il parle lorsqu’il transmet des informations à ses sportifs.

L’alimentation est très importante, surtout si l’on considère les personnes âgées. Le manque d’exercice, le manque de bonnes protéines et la perte de masse musculaire se répercutent sur la santé. Globalement, la qualité de vie peut en souffrir énormément, ce qui est un sujet important pour Martin Andermatt. Après tout, la qualité de vie est un sujet important pour tout le monde. Surtout lorsqu’ils vieillissent. Il faut donc une bonne dose de discipline si l’on veut rester en forme physiquement et mentalement pendant une longue période.

Le simple fait de penser que l’on devrait peut-être perdre un peu de poids ne suffit pas pour y parvenir réellement. Ce n’est qu’à partir du moment où l’on devient actif dans ce domaine que l’on obtient des résultats. Il s’agit donc de l’action réelle, qui est toujours décisive pour le changement.

Un premier pas pour Martin Andermatt dans sa rencontre avec le jeûne hépatique a été d’aller chercher lui-même la préparation HEPAFAST® à Berne et de ne pas simplement se la faire envoyer. Il s’est en quelque sorte laissé mesurer dans le cabinet de Swiss1Chirurgie. Ce qui compte vraiment, ce sont les valeurs réelles et actuelles. Martin Andermatt le sait déjà de par sa carrière sportive.

La motivation compte

Comme dans de nombreux autres domaines, une bonne motivation est le meilleur point de départ pour obtenir de bons résultats lors d’un jeûne hépatique. Si la motivation personnelle peut ensuite être soutenue lors d’un entretien avec un médecin spécialisé, c’est une bonne condition préalable à l’action active.

Ce qui compte alors, c’est l’action réelle. Ce n’est pas demain, ou peut-être après-demain, mais de préférence tout de suite qu’il faut commencer à faire ce que l’on a reconnu comme bon et juste pour soi-même.

Du point de vue de Martin Andermatt, ce sont parfois aussi les petites vanités qui peuvent être un moteur pour le jeûne hépatique. Qui ne veut pas plaire à son ou sa partenaire même à un âge avancé ? Qui ne veut pas rester actif et en forme même en vieillissant ? On veut aussi être un modèle pour les enfants et lorsqu’on est entraîneur, tout cela a aussi à voir avec un rayonnement positif sur les personnes que l’on entraîne. Ce n’est que si l’on se plaît soi-même que l’on peut le faire savoir de manière positive, estime Martin Andermatt.

A cela s’ajoutent bien sûr les pensées pour sa propre santé. Même si l’on a absolument veillé à une alimentation et un mode de vie sains pendant de nombreuses années, cela change parfois avec l’expérience de la vie. Mais le capital le plus important reste toujours la santé personnelle. C’est là qu’il faut décider de ce qui est bon et de ce qui est juste. Celui qui décide lui-même n’a pas besoin qu’on décide pour lui. Et la santé devrait toujours être un facteur très important dans ces décisions.

Quels sont les conseils à donner aux sportifs actifs en fin de carrière ?

En général, les sportifs actifs ont une alimentation très riche en hydrates de carbone, car ils ont besoin de cette énergie pour leurs efforts physiques. On observe alors souvent, en fin de carrière, que de nombreux sportifs prennent rapidement du poids et ont même tendance à devenir obèses. Il est alors important de revenir aussi à la vie normale. Un facteur profondément humain joue ici également un rôle important. En tant que sportif, on n’est soudain plus demandé. Cela peut rapidement conduire à se laisser aller. Dans tous les sens du terme. Il est alors d’autant plus important de reconnaître sa propre valeur humaine. Il faut voir ce que l’on veut et peut encore accomplir dans la vie et avec quel rayonnement on veut rencontrer son entourage. Les porte-bonheur éphémères comme un bon repas, le coca ou un paquet de chips ne sont alors pas vraiment ce dont on a réellement besoin. Le bonheur de courte durée est un leurre qui, au final, ne fait qu’insatisfaire et rendre malheureux.

La recommandation pour les sportifs actifs en fin de carrière

Dans tous les cas, celui qui est en fin de carrière doit se désensibiliser progressivement. Ce qui compte, ce n’est pas la fin du jour au lendemain, mais le passage progressif à un statut normal. De la même manière que l’on renonce alors progressivement aux performances sportives de haut niveau, il faut naturellement aussi modifier son alimentation. La charge mentale change également, ce qu’il faut tout à fait considérer.

Ce qui compte maintenant, Martin Andermatt en est convaincu, ce sont de bonnes discussions, même si elles dépassent le cadre de sa propre expérience. Un bon accompagnement médical peut être utile. Il ne s’agit pas d’avoir peur d’un quelconque diagnostic, mais de développer des visions pour son propre avenir. Pour Martin Andermatt, il est également important de vivre de manière plus détendue et plus heureuse.

En tant qu’entraîneur, il suit une philosophie très claire qu’il aime résumer en trois mots : Rire, apprendre, transpirer. Lorsqu’il transmet cela à ses joueurs, Martin Andermatt aime aussi penser lui-même s’il a déjà ri, appris et peut-être même transpiré aujourd’hui. Le plus beau, c’est quand on peut donner aux joueurs, au-delà du sport pur, quelque chose qui a encore de la valeur pour leur vie après le sport actif.

Les propres expériences avec le jeûne hépatique

D’après sa propre expérience, Martin Andermatt ne peut associer le jeûne hépatique qu’à des perceptions agréables. Il s’agit avant tout d’un véritable sentiment de bien-être et d’une nouvelle énergie qu’il a ressentie pour lui-même.

Le jeûne du foie est une expérience passionnante, surtout à une époque où l’on souhaite se redécouvrir soi-même. Martin Andermatt a déjà suivi trois fois une cure de jeûne hépatique avec HEPAFAST® et il est certain qu’il le refera encore et encore. Ne serait-ce qu’en raison de toute l’énergie positive qu’il en a retirée pour lui-même. Il recommande volontiers le jeûne hépatique à d’autres personnes. Derrière lui, il met toute sa personnalité et son expérience.

Bien sûr, il peut être difficile pour un individu de faire face à sa problématique. Souvent, on préfère se moquer de soi-même plutôt que d’entreprendre des changements importants. Certainement aussi parce que les changements peuvent aussi être inconfortables. Mais celui qui s’écoute sait que seuls les changements apportent un changement. Et c’est exactement la même chose pour le jeûne hépatique.

La question n’est pas de savoir pourquoi on est tombé à l’eau, mais comment on en sort. Il s’agit de prendre des décisions et de les appliquer de manière cohérente. Et si l’on a besoin d’un soutien pour cela, il faut aller le chercher.

Stigmatisation de l’obésité. Qu’est-ce que cela signifie ?

Dr. med. Jörg Zehetner sur la problématique de l’obésité et ce que cela signifie pour les personnes concernées

Dans le cadre de la série de conférences organisées par Helvetius Holding AG, le Dr. med. Jörg Zehetner, professeur USC, a pris position sur la stigmatisation des personnes en surpoids et les conséquences qui en résultent pour les personnes concernées. Dans sa conférence au Saaser-Stube de Saas-Fee, ce médecin expérimenté, qui s’occupe aussi intensivement de la problématique de l’obésité, a décrit les circonstances avec lesquelles les patients obèses doivent vivre pratiquement jour après jour.

Ils sont parmi nous

Au début de son exposé, le Dr Zehetner a précisé que pratiquement tout le monde connaît les personnes en obésité. Dans sa propre famille, dans le cercle de ses amis ou de ses collègues, il y en a partout et le nombre de personnes concernées ne cesse d’augmenter. Et la vie des patients en surpoids n’est pas facile, au sens propre du terme.

Où commence la stigmatisation

Regarde le gros, là ! Oh, elle est grosse. Le gros devrait se bouger un peu plus. Regarde ce qu’il a dans son panier, alors qu’il est déjà assez gros.

C’est ainsi, ou presque, que commence la stigmatisation des personnes en obésité. Sans se demander d’où ou pourquoi, sans tenir compte de l’implication personnelle des personnes, celles-ci sont consciemment ou inconsciemment rangées dans une case dans laquelle elles n’ont pas leur place et dont elles ne pourraient pas se libérer seules. En plus des remarques à l’emporte-pièce, il y a aussi celles qui font vraiment mal et qui n’aident en rien les personnes concernées.

Abolir les préjugés

Ceux qui s’intéressent de plus près à la problématique de l’obésité savent que les personnes concernées souffrent énormément de leur situation de vie actuelle. Un premier pas vers la réduction de ce préjudice consisterait à éliminer les préjugés habituels. C’est toujours le meilleur moment pour le faire.

La lutte contre l’obésité nécessite un réseau professionnel

Rares sont les personnes en surpoids souffrant d’un problème grave qui pourront affronter seules leur maladie avec succès et à long terme. Même si la chirurgie de l’obésité est devenue un moyen éprouvé et efficace de lutter contre les kilos superflus, un travail de réseau ciblé est nécessaire avant, pendant et après l’intervention médicale. Pour ce faire, un réseau professionnel a été mis en place sous l’égide d’Helvetius Holding AG, qui se tient à la disposition des patients à toutes les étapes pour les conseiller, les accompagner et les soutenir.

Une grande alliance sociale est nécessaire pour lutter contre la stigmatisation

Le thème de l’obésité est présent partout. Non seulement dans la vie quotidienne, mais aussi dans les médias, les gens rencontrent ce thème de plus en plus souvent et de manière intensive, en plus des blagues et remarques bien connues sur le thème du surpoids. De la stigmatisation à la discrimination, le chemin est généralement très court. Les personnes grosses sont associées à un univers conceptuel qui est loin d’être agréable ou valorisant. D’autant plus si l’on ne connaît pas ces personnes personnellement. Cette stigmatisation s’étend loin dans la vie personnelle et sociale des personnes concernées. Même la vie professionnelle n’est pas exclue. Pour changer cela, un grand consensus social est nécessaire.

Sortir de la stigmatisation

Si l’on veut briser le cercle vicieux de la stigmatisation et de la discrimination des personnes en surpoids, il est nécessaire de définir une ligne de conduite claire. Et celle-ci commence précisément là où l’obésité est considérée comme une maladie et donc comme pouvant être traitée et guérie. Ce n’est qu’alors qu’il sera possible d’aborder activement ces personnes, qui pourront alors elles-mêmes affronter activement leur problème sans devoir continuer à se cacher.

Une autre étape consisterait à repenser de manière significative l’attitude à adopter vis-à-vis de ces patients. Et ce, dans chaque domaine de la vie et dans chaque rencontre avec des personnes en surpoids. Ce n’est que lorsque ces personnes ne seront plus stigmatisées qu’elles pourront elles-mêmes s’engager activement dans le processus de guérison. Dignité, respect et tolérance sont ici des mots clés parfaitement adaptés.

Il est important de considérer également les personnes en surpoids comme des membres précieux de notre société et de reconnaître qu’elles ne sont pas paresseuses, lourdes, désagréables et peu performantes, mais malades. Et il est possible d’agir contre les maladies, y compris contre l’obésité pathologique.

Définir le surpoids comme une maladie

Si l’on s’intéresse de plus près au surpoids et à l’obésité, on pourra rapidement les comprendre comme de véritables maladies. Comme pour toute maladie organique, il existe des définitions et des évolutions claires, mais aussi des interventions thérapeutiques qui parlent clairement en faveur d’un tableau clinique. Un premier point de repère est la répartition en différentes classifications du surpoids, en partant de l’indice de masse corporelle, IMC.

Bien que la chirurgie de l’obésité soit une intervention utile, elle ne permet pas à elle seule de résoudre le problème. L’obésité pathologique est et reste une maladie chronique qui nécessite une attention tout au long de la vie, mais pas une stigmatisation méprisante.

Vous trouverez plus d’informations approfondies sur le sujet dans l’enregistrement vidéo de la conférence (LINK) et directement sur les pages web de Swiss1Chirurgie .