Les patients en surpoids ont besoin d’un long suivi

Swiss1Chirurgie propose un suivi après une opération de l’obésité

Forts de plusieurs années d’expérience, les spécialistes de Swiss1Chirurgie savent que de nombreux patients ne sont pas suivis médicalement après une opération de l’obésité, ou seulement de manière insuffisante. Un suivi cohérent et régulier des patients est extrêmement important si l’on ne veut pas compromettre le succès d’une opération de l’estomac. De plus, des complications après une opération bariatrique peuvent mettre en danger la santé, voire la vie des patients concernés.

Forts de ce savoir, les cabinets de Swiss1Chirurgie proposent un suivi et un traitement continus des patients, même si ceux-ci n’ont pas été opérés dans une clinique de Siwss1Chirurgie. Les cabinets Swiss1Chirurgie apportent ainsi une contribution précieuse et importante au succès durable du traitement de l’obésité pour tous les patients qui, jusqu’à présent, ne bénéficiaient pas d’un suivi régulier et de longue durée.

Swiss1Chirurgie propose un concept de traitement continu

Les personnes qui font face à leur problème de surpoids doivent également être conscientes qu’un traitement efficace à long terme est un processus continu qui nécessite également un accompagnement médical spécialisé. Surtout lorsque le problème de surpoids pathologique est lié à des interventions chirurgicales, un suivi long et professionnel est nécessaire.

Dans les cabinets de Swiss1Chirurgie, nous rencontrons régulièrement des patients qui sont laissés à eux-mêmes après une opération bariatrique. Pourtant, c’est précisément après une réduction de l’estomac ou une intervention chirurgicale similaire qu’il est urgent d’accompagner et d’encadrer ces patients dans leur évolution ultérieure.

Le succès d’une opération de l’obésité dépend toujours du suivi qui s’ensuit. Les opérations de suivi et les conseils contribuent également à assurer le succès de la perte de poids à long terme et de manière durable. Dans ce cas, les spécialistes de Swiss1Chirurgie proposent un concept professionnel de suivi et de traitement ultérieur.

Après l’opération vient le traitement proprement dit

En cas d’obésité pathologique, le traitement chirurgical n’est qu’une étape parmi d’autres pour améliorer l’état de santé des personnes concernées. Dès la phase préparatoire à l’intervention chirurgicale, nous travaillons avec les patients pour que les conditions nécessaires à l’opération de l’estomac puissent être réunies. Une fois l’opération terminée, le processus se poursuit.

Outre les entretiens et examens réguliers dans le cadre du suivi, il n’est pas rare que des interventions plus poussées soient nécessaires si l’on ne veut pas compromettre le succès de la première opération de l’estomac. Dans de nombreux cas, les opérations de suivi font même partie du concept de traitement et sont conçues pour assurer le succès global du traitement de l’obésité.

Un conseil, un suivi et un accompagnement approfondis des patients après la première opération ne sont donc pas une option, mais une obligation. Dans l’intérêt des patients, de leur santé et de leurs efforts pour atteindre une meilleure qualité de vie.

Souvent, le suivi est négligé

Comme nous l’avons déjà remarqué, nous rencontrons régulièrement des patients d’autres cliniques pour lesquels le suivi après une opération de l’obésité est nettement insuffisant ou, dans le pire des cas, n’est pas effectué du tout. Cela comporte non seulement des risques pour le succès de l’opération de l’obésité, mais peut même mettre la vie en danger.

Des complications détectées trop tard ou pas du tout, un comportement alimentaire toujours inapproprié et toute une série d’autres raisons font que le succès de l’opération de l’estomac est compromis et que la vie des patients est mise en jeu en cas d’urgence. C’est pourquoi nous invitons tous les patients ayant subi une opération de l’obésité à s’adresser à l’un des cabinets de Swiss1Chirurgie pour faire part de leur problème en cas de suivi insuffisant ou inexistant. Vous trouverez en ligne un questionnaire simple qui vous donnera les premiers indices et vous permettra d’identifier les possibilités d’un traitement postopératoire professionnel et continu. Utilisez ce questionnaire pour établir un premier contact avec nous.

Swiss1Chirurgie prend en charge le traitement ultérieur

Sachant que de nombreux patients ne sont pas suivis de manière continue et à long terme après une intervention chirurgicale liée à un problème de surpoids, nous proposons un tel suivi régulier et professionnel à tous les patients souffrant de surpoids.

Cette offre est également valable pour les patients qui ont subi une intervention de chirurgie de l’obésité dans une autre clinique. Nous voulons ainsi nous assurer que tous les patients bénéficient d’un suivi et d’un traitement adaptés à leur situation particulière. Car en fin de compte, le succès durable de la chirurgie de l’obésité repose toujours sur un suivi professionnel, régulier et durable.

En tant que patients concernés, prenez contact avec nous et demandez un premier entretien. L’idéal est de remplir notre questionnaire en ligne à cet effet. Nous vous contacterons alors le plus rapidement possible pour discuter des étapes suivantes de la thérapie ciblée de l’obésité, même après une opération de l’obésité déjà effectuée.

Pour en savoir plus, consultez nachsorge.ch

Les soins postopératoires sous la loupe de la chirurgie de l’obésité

Entretien avec le Dr Steffen, ZfbC

Dans une interview détaillée, le Dr Steffen du Centre de chirurgie bariatrique ZfbC discute de l’importance du suivi pour les patients en surpoids. Outre l’opération bariatrique proprement dite, un suivi structuré revêt une importance considérable. Un succès durable n’est possible que si les personnes concernées sont impliquées activement et à vie dans le processus. Un article détaillé sur l’interview et l’interview du Dr Steffen lui-même sont disponibles ici.

Nouveau site d’information pour les patients : www.nachsorge.ch

Les soins postopératoires sous la loupe de la chirurgie de l’obésité

Si l’on parle d’interventions bariatriques telles que la réduction de l’estomac ou la formation d’un estomac tubulaire, il faut également parler d’un suivi professionnel et d’un traitement ultérieur pour les patients.

C’est exactement ce que fait le Dr Steffen du ZfbC, Centre de chirurgie bariatrique, dans l’interview vidéo présentée. Avec plus de 30 ans d’expérience et 3 600 opérations de l’estomac qu’il a lui-même réalisées dans le contexte de la chirurgie de l’obésité, le Dr Steffen fait partie des sommités de cette spécialité médicale en Suisse.

Évaluation des risques

Qu’il s’agisse d’un anneau gastrique, d’un bypass gastrique, d’une réduction de l’estomac ou d’autres techniques, il existe toujours un certain risque de récidive pour les patients traités. Justement la réduction du taux de récidive, ZfbC, lorsqu’il s’agit du suivi professionnel après une opération de l’obésité. Le Dr Steffen le dit clairement.

Le traitement de l’obésité est un processus qui dure toute la vie

Il devrait également être clair qu’après une première opération, il y aura d’autres interventions pour la plupart des personnes concernées, afin d’assurer le succès de la chirurgie de l’obésité. Cela signifie également que, dans la majorité des cas, l’opération seule ne suffira pas pour le reste de la vie. Il est donc important d’accompagner et d’encadrer les patients de manière continue et individuelle dans le cadre du suivi.

Les enfants dans la chirurgie de l’obésité

Selon le Dr Steffen, les enfants ne sont pas exclus de la problématique de l’obésité pathologique. Les enfants obèses deviennent généralement des adultes obèses, de sorte qu’une intervention précoce peut s’avérer judicieuse en présence d’une indication correspondante. Il est important de noter que le cadre réglementaire des interventions bariatriques doit également être respecté pour les mineurs.

Le suivi est le facteur de réussite décisif

Pour le Dr Steffen, le suivi continu est plus important que le moment de l’intervention chirurgicale. Par expérience, il sait que de nombreux patients ne prennent plus vraiment soin d’eux après une première opération de l’obésité. Mais il faut aussi responsabiliser les collègues spécialistes qui ne placent pas toujours le suivi spécifique au centre de la prise en charge ultérieure. Dans ce domaine, le CNPC peut tout à fait combler des lacunes de traitement. Il faut comprendre l’obésité pathologique comme une maladie incurable, de sorte qu’une bonne stratégie de suivi à vie doit également être présentée. Le Dr Steffen ne comprend pas le fait qu’il rencontre régulièrement des patients qui sont laissés seuls et insuffisamment considérés dans leur situation problématique après une opération de l’obésité.

En conséquence, le ZfbC souhaite également s’ouvrir aux patients qui n’ont pas été traités dans une clinique de Swiss1Chirurgie ou dans un cabinet associé. Il s’agit d’un lieu d’écoute et de soutien professionnel pour toute personne qui se plaint de problèmes divers après une intervention bariatrique. Ce qui n’est en aucun cas acceptable, c’est que les patients soient simplement laissés à eux-mêmes après une opération de l’obésité en se référant à leur programme de régime. Cela va à l’encontre de toute exigence éthique et médicale.

Dans ce contexte, il devrait être clair que celui qui n’a pas réussi à gérer son surpoids avant une opération ne pourra pas non plus le faire sans aide après l’opération.

Comprendre le suivi comme une norme

Pour Swiss1Chirurgie, un suivi structuré fait partie des standards de la chirurgie de l’obésité. Même si ce n’est malheureusement pas le cas partout, les experts de Swiss1Chirurgie, en collaboration avec le ZfbC, attachent une grande importance à un suivi professionnel et structuré dans l’intérêt des patients. C’est en effet le seul moyen d’assurer les premiers succès, de détecter les problèmes à temps et de développer le succès à long terme de la thérapie. Le reste n’a pas beaucoup de sens.

Il est également important de noter que le fonctionnement des différentes méthodes de traitement peut toujours entraîner des carences. De tels processus doivent bien entendu être surveillés et contrôlés afin de montrer aux patients comment compenser certaines carences, comme le manque de calcium ou de vitamines.

Le suivi des patients souffrant d’obésité est un travail d’équipe au ZfbC. Outre le Dr Steffen lui-même, d’autres collègues spécialistes se consacrent ici aux problèmes des patients dans le cadre de consultations de suivi spéciales. Environ 8000 patients sont actuellement pris en charge. Dans le cadre réglementaire, l’Office fédéral de la santé publique exige un suivi sur cinq ans. Les experts de Swiss1Chirurgie savent cependant que, dans les faits, un suivi à vie des patients est utile et nécessaire. Dans ce domaine, les dispositions législatives ne sont manifestement pas suffisantes.

Des complications peuvent survenir à tout moment

Les problèmes rencontrés par chaque patient sont très différents. Les soins postopératoires doivent donc être organisés de manière individuelle. Une partie des problèmes sont de véritables complications, comme des douleurs abdominales chroniques, des diarrhées persistantes, des carences, des vomissements ou d’autres problèmes fonctionnels. En principe, chaque personne concernée doit s’attendre à ce qu’un problème quelconque survienne pendant une période plus ou moins longue. Même si cela ne concerne finalement pas tout le monde, c’est une nette proportion de patients qui doit faire face à certaines problématiques après une opération de l’obésité.

Alcool et surpoids

Comme l’explique clairement le Dr Steffen, l’alcool a un effet particulier sur l’obésité et encore plus sur les patients traités en conséquence. Selon lui, outre les symptômes typiques de l’intoxication, l’alcool a une valeur calorique aussi élevée que la graisse pure. Il est donc peu judicieux, voire contre-productif, pour les patients en surpoids de consommer de l’alcool au-delà d’une faible quantité. Le mieux serait de renoncer complètement à l’alcool. C’est aussi à cela que vise un bon suivi.

Chaque intervention augmente le risque

En ce qui concerne les risques généraux liés à la chirurgie de l’obésité, le Dr Steffen souligne que l’opération laparoscopique en tant que telle est tout d’abord extrêmement sûre et ne comporte que peu de risques. La première opération est toujours moins risquée que les suivantes, mais cela dépend aussi de l’expérience des chirurgiens dans chaque clinique. Les complications qui peuvent survenir après les interventions sont beaucoup plus fréquentes. En premier lieu, il y a les carences, les problèmes digestifs et les problèmes au niveau de l’œsophage. Il faut toujours s’y attendre après une opération de l’obésité, c’est pourquoi un suivi à vie est également utile et recommandé. Les médecins généralistes doivent également en être conscients et cela sera abordé dès le premier entretien d’information.

Obésité et Corona

Actuellement, le virus Corona joue un rôle important dans l’ensemble de la société. Les personnes en surpoids qui y sont confrontées doivent s’attendre à une évolution plus grave après une infection en raison de leur constitution physique. Si les personnes en surpoids ont déjà des problèmes respiratoires, ceux-ci seront certainement encore plus importants en cas de COVID, a fortiori en cas de ventilation assistée ou artificielle. Il est difficile de décider de ne pas opérer maintenant les personnes en surpoids, car elles seront alors nettement plus touchées en cas d’infection ultérieure.

Le rôle des médecins généralistes

Le premier réflexe des personnes en surpoids qui souhaitent améliorer leur situation est toujours de consulter leur médecin généraliste. Le cas échéant, ce dernier procédera alors à une orientation vers les médecins spécialistes. Dans ce cas, les cabinets de Swiss1Chirurgie sont recommandés comme centres de compétence pour les interventions bariatriques. Le médecin généraliste pourrait également être le premier point de contact pour fournir des informations appropriées au patient. De plus, en tant que Swiss1Chirurgie, nous proposons avec le ZfbC une offre d’information complète pour toutes les personnes concernées. Cela va de nos consultations spécialisées aux informations détaillées et complètes disponibles sur Internet et via notre application. Toutefois, s’informer sur n’importe quel site ou endroit sur Internet comporte toujours le risque d’accéder à des informations erronées. Le Dr Steffen renvoie volontiers aux pages de Swiss1Chirurgie qui, contrairement à n’importe quel forum ou chatroom, fournissent des informations extrêmement correctes, complètes et structurées.

Swiss1Chirurgie informe les patients et les endocrinologues

Nouveau cadre réglementaire pour les opérations de l’obésité

A partir du 1er janvier 2021, il sera possible de se faire opérer de l’obésité à partir d’un IMC de 30+ en présence d’un diabète de type 2. L’une des conditions préalables est que le diabète ne puisse plus être contrôlé de manière sûre par des moyens conventionnels. Seules quelques cliniques spécialisées sont autorisées à pratiquer de telles opérations. Les cabinets de Swiss1Chirurgie, qui proposent de telles interventions dans le cadre de l’association Helvetia Holding AG, en font également partie. Apprenez-en plus sur la décision du BAG.

Opérations de surcharge pondérale possibles dès 2021 à partir d’un IMC de 30 avec diabète

L’obésité n’est pas une chose dont on peut se moquer. Toutes les personnes concernées le savent aussi bien que nous, en tant que médecins spécialisés. Depuis des années, les experts de Swiss1Chirurgie observent l’évolution de l’obésité dans les pays industrialisés modernes. Il est de plus en plus évident que la proportion de personnes en surpoids est de plus en plus importante. Les restrictions et les troubles individuels ne sont pas les seuls à être liés à cette situation. En raison d’une surabondance de nourriture en tout temps et en tout lieu et d’un comportement alimentaire erroné en conséquence, les sociétés saines deviennent rapidement des sociétés malades dont le défaut est avant tout l’abondance.

Jusqu’à présent, les assurances maladie et les organisations médicales se sont mises d’accord avec les politiques en Suisse pour que les interventions chirurgicales visant à réduire le poids ne soient possibles et financées en conséquence qu’à partir d’un IMC de 35 et plus. Ce faisant, on a complètement ignoré le fait qu’un IMC à partir de 35 est déjà une valeur extrêmement élevée, qui est déjà liée à de nombreuses maladies et troubles consécutifs. De telles maladies concomitantes ne compliquent pas seulement la vie des patients eux-mêmes, mais constituent aussi souvent un frein évident à la préparation et à la réalisation des opérations nécessaires en cas de surpoids.

A partir de 2021, le seuil sera de 30 IMC

Conformément aux interventions des médecins spécialistes et à un suivi précis de l’évolution, le monde politique a décidé, en collaboration avec le monde médical, d’abaisser désormais le seuil des interventions bariatriques dans le cadre d’une chirurgie de l’obésité à un IMC de 30, à condition que les patients soient également touchés par le diabète.

Cette décision, attendue depuis longtemps, profite aux patients qui, jusqu’à présent, n’entraient pas dans le cercle des patients pour lesquels une opération de l’obésité était envisageable, malgré un diagnostic d’obésité accompagné d’un tableau clinique correspondant.

Cela permet de traiter beaucoup plus rapidement de multiples pathologies étroitement liées à l’obésité et de procéder également aux interventions chirurgicales nécessaires et souhaitées. Cela aura un impact durable sur la qualité de vie des personnes ayant un IMC supérieur à 30 et souffrant de diabète et, en fin de compte, réduira la proportion de personnes en surpoids important, avec les coûts sociaux et économiques que cela implique.

Avantages surtout chez les personnes

Les avantages déterminants de cette décision sont maintenant surtout pour les personnes qui, avec un IMC à partir de 30 et un diabète, sont déjà clairement concernées par l’obésité pathologique. Désormais, le calvaire de ces personnes peut être considérablement raccourci. Cela aussi parce que cela n’a manifestement aucun sens d’attendre d’avoir un IMC énormément élevé, de 35 ou plus, pour qu’une intervention chirurgicale visant à réduire le poids soit rendue possible par la réglementation.

L’un des principaux avantages de cette décision est qu’elle permet de limiter considérablement l’ampleur de la surcharge pondérale et des maladies associées et secondaires telles que le diabète, les maladies cardio-vasculaires et l’arthrose. Le parcours de souffrance psychique peut également être nettement raccourci et les patients à partir d’un IMC de 30 avec diabète peuvent désormais se confier à des spécialistes expérimentés de la chirurgie de l’obésité. Les cabinets de Swiss1Chirurgie font partie des cliniques médicales spécialisées qui, à partir du 01.01.2021, seront autorisées à pratiquer des interventions chirurgicales de réduction du surpoids à partir d’un IMC de 30 avec diabète.

Déterminez ici votre IMC et découvrez si et dans quelles conditions vous faites partie des candidats potentiels à une opération de l’obésité.

VERS LE CALCULATEUR BMI

Par ailleurs, nous recommandons à toutes les personnes en forte surcharge pondérale de prendre contact avec un cabinet de Swiss1Chirurgie. Vous faites ainsi le premier pas vers un avenir meilleur et plus sain en 2021 et utilisez les possibilités de la médecine moderne pour améliorer votre vie.

Prendre contact avec Swiss1Chirurgie ici.

Thun, nouveau site de Swiss1Chirurgie

Le besoin de prestations professionnelles dans le domaine de la chirurgie de l’obésité augmente. Aussi à Thoune et dans les environs. Et ce n’était qu’une étape logique que le cabinet du Dr Naef à Thoune fasse désormais partie du réseau d’établissements spécialisés de Swiss1Chirurgie. L’article vous en dira plus à ce sujet.

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Éructations, surpoids et diabète – reconnaître les relations de cause à effet

Seules les personnes qui reconnaissent le lien entre le reflux, l’obésité et le diabète peuvent trouver la bonne approche thérapeutique. C’est ce qui ressort de la conférence spécialisée du Dr Med. Jörg Zehetner, professeur (USC), dont vous pouvez lire l’article complet ici.

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Stigmatisation de l’obésité. Qu’est-ce que cela signifie ?

Dr. med. Jörg Zehetner sur la problématique de l’obésité et ce que cela signifie pour les personnes concernées

Dans le cadre de la série de conférences organisées par Helvetius Holding AG, le Dr. med. Jörg Zehetner, professeur USC, a pris position sur la stigmatisation des personnes en surpoids et les conséquences qui en résultent pour les personnes concernées. Dans sa conférence au Saaser-Stube de Saas-Fee, ce médecin expérimenté, qui s’occupe aussi intensivement de la problématique de l’obésité, a décrit les circonstances avec lesquelles les patients obèses doivent vivre pratiquement jour après jour.

Ils sont parmi nous

Au début de son exposé, le Dr Zehetner a précisé que pratiquement tout le monde connaît les personnes en obésité. Dans sa propre famille, dans le cercle de ses amis ou de ses collègues, il y en a partout et le nombre de personnes concernées ne cesse d’augmenter. Et la vie des patients en surpoids n’est pas facile, au sens propre du terme.

Où commence la stigmatisation

Regarde le gros, là ! Oh, elle est grosse. Le gros devrait se bouger un peu plus. Regarde ce qu’il a dans son panier, alors qu’il est déjà assez gros.

C’est ainsi, ou presque, que commence la stigmatisation des personnes en obésité. Sans se demander d’où ou pourquoi, sans tenir compte de l’implication personnelle des personnes, celles-ci sont consciemment ou inconsciemment rangées dans une case dans laquelle elles n’ont pas leur place et dont elles ne pourraient pas se libérer seules. En plus des remarques à l’emporte-pièce, il y a aussi celles qui font vraiment mal et qui n’aident en rien les personnes concernées.

Abolir les préjugés

Ceux qui s’intéressent de plus près à la problématique de l’obésité savent que les personnes concernées souffrent énormément de leur situation de vie actuelle. Un premier pas vers la réduction de ce préjudice consisterait à éliminer les préjugés habituels. C’est toujours le meilleur moment pour le faire.

La lutte contre l’obésité nécessite un réseau professionnel

Rares sont les personnes en surpoids souffrant d’un problème grave qui pourront affronter seules leur maladie avec succès et à long terme. Même si la chirurgie de l’obésité est devenue un moyen éprouvé et efficace de lutter contre les kilos superflus, un travail de réseau ciblé est nécessaire avant, pendant et après l’intervention médicale. Pour ce faire, un réseau professionnel a été mis en place sous l’égide d’Helvetius Holding AG, qui se tient à la disposition des patients à toutes les étapes pour les conseiller, les accompagner et les soutenir.

Une grande alliance sociale est nécessaire pour lutter contre la stigmatisation

Le thème de l’obésité est présent partout. Non seulement dans la vie quotidienne, mais aussi dans les médias, les gens rencontrent ce thème de plus en plus souvent et de manière intensive, en plus des blagues et remarques bien connues sur le thème du surpoids. De la stigmatisation à la discrimination, le chemin est généralement très court. Les personnes grosses sont associées à un univers conceptuel qui est loin d’être agréable ou valorisant. D’autant plus si l’on ne connaît pas ces personnes personnellement. Cette stigmatisation s’étend loin dans la vie personnelle et sociale des personnes concernées. Même la vie professionnelle n’est pas exclue. Pour changer cela, un grand consensus social est nécessaire.

Sortir de la stigmatisation

Si l’on veut briser le cercle vicieux de la stigmatisation et de la discrimination des personnes en surpoids, il est nécessaire de définir une ligne de conduite claire. Et celle-ci commence précisément là où l’obésité est considérée comme une maladie et donc comme pouvant être traitée et guérie. Ce n’est qu’alors qu’il sera possible d’aborder activement ces personnes, qui pourront alors elles-mêmes affronter activement leur problème sans devoir continuer à se cacher.

Une autre étape consisterait à repenser de manière significative l’attitude à adopter vis-à-vis de ces patients. Et ce, dans chaque domaine de la vie et dans chaque rencontre avec des personnes en surpoids. Ce n’est que lorsque ces personnes ne seront plus stigmatisées qu’elles pourront elles-mêmes s’engager activement dans le processus de guérison. Dignité, respect et tolérance sont ici des mots clés parfaitement adaptés.

Il est important de considérer également les personnes en surpoids comme des membres précieux de notre société et de reconnaître qu’elles ne sont pas paresseuses, lourdes, désagréables et peu performantes, mais malades. Et il est possible d’agir contre les maladies, y compris contre l’obésité pathologique.

Définir le surpoids comme une maladie

Si l’on s’intéresse de plus près au surpoids et à l’obésité, on pourra rapidement les comprendre comme de véritables maladies. Comme pour toute maladie organique, il existe des définitions et des évolutions claires, mais aussi des interventions thérapeutiques qui parlent clairement en faveur d’un tableau clinique. Un premier point de repère est la répartition en différentes classifications du surpoids, en partant de l’indice de masse corporelle, IMC.

Bien que la chirurgie de l’obésité soit une intervention utile, elle ne permet pas à elle seule de résoudre le problème. L’obésité pathologique est et reste une maladie chronique qui nécessite une attention tout au long de la vie, mais pas une stigmatisation méprisante.

Vous trouverez plus d’informations approfondies sur le sujet dans l’enregistrement vidéo de la conférence (LINK) et directement sur les pages web de Swiss1Chirurgie .